22 Nov

The Fleshtones : une légende du rock’n’roll en concert à La Scène Michelet à Nantes

Leur réputation est inversement proportionnelle à la taille de la salle de concert qui les accueille, The Fleshtones Mesdames et Messieurs seront à La Scène Michelet le 13 décembre. Pas sûr qu’il y ait de la place pour tout le monde…

© York Wilson

Ça risque de chalouper fort à l’entrée de La Scène Milchelet le jeudi 13 décembre, le café-concert, dont la jauge ne dépasse pas les 150 places, reçoit en effet ce soir-là l’un des groupes les plus mythiques de la scène rock new-yorkaise, The Fleshtones.

Formé en 1976 dans un New York en surchauffe, à la même époque que les Ramones, Blondie ou encore Television, The Fleshtones impose rapidement sa marque, un rock à l’énergie punk, au son sixties tendance rockabilly et surf music. Et rien ne l’arrête. Le tandem Keith Streng / Peter Zaremba entraîne le groupe dans une orgie de concerts, tout d’abord au mythique CBGB’s à New York puis sur toutes le scènes du monde, les grandes comme les minuscules.

Certains d’entre vous se souviennent peut-être encore de leur passage au café-concert Stakhanov à Nantes en 2012, un concert survolté d’une heure trente pour quelques privilégiés, ou de celui, plus récent à L’Oasis au Mans en décembre 2017.

Il faut dire que nos quatre trublions n’ont pas franchement l’âge de leurs artères, ne s’économisant jamais sur scène. Le concert nantais s’inscrit dans le cadre d’une tournée européenne qui doit les emmener du côté du Royaume-Uni, de l’Italie ou encore des Pays-Bas, avec dans leurs valises un nouvel album, Budget Buster, une compilation de quelques faces B et  raretés de ces dix dernières années.

À l’heure où sont écrites ces quelques lignes, il reste des places.

Eric Guillaud

Plus d’infos sur The Fleshtones ici, pour les places c’est là

Hellfest 2019 : Tool or not Tool, l’affiche de la quatorzième édition dévoilée lundi 26 novembre

Bonne nouvelle ! Les organisateurs du Hellfest viennent de fixer dans un élan de compassion contrôlé la révélation de l’affiche 2019 au lundi 26 novembre. Plus que 4 jours à patienter, soit 96 heures, 5760 minutes ou 345 600 secondes, pour tout savoir et arrêter de se ronger les ongles…

© MaxPPP – Romain Boulanger

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21 Nov

Festival Culture Bar-Bars : patron, la même chose !

Pour la 17e année consécutive, le festival Culture Bar-Bars paie sa tournée générale de musique un peu partout en France. Pas loin de 50 villes, 210 lieux différents, 780 événements et des milliers d’artistes à découvrir entre le 22 et le 24 novembre. Santé !

© Patrice Hauser/Maxppp

Lancé à Nantes dans les années 90, le Festival Culture Bar-Bars a investi le territoire national et peut s’arguer désormais d’être le deuxième événement culturel national après la fête de la musique.

Dans les Pays de la Loire, plus de 350 événements sur plus de 100 lieux différents vous attendent, concerts mais aussi expositions et performances. Jazz, rock, hip hop, métal, électro ou encore musiques du monde, la programmation se veut être le reflet de la richesse artistique.

Impossible bien évidemment de vous donner le menu dans le détail mais nous avons sélectionné rien que pour vous nos coups de coeur. Une sélection totalement subjective mais largement assumée. Pour le reste, à vous de jouer!

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19 Nov

Exclu. INÜIT joue Tomboy en live sur la scène des Z’Éclectiques

Supersonikk vous offre une petite douceur pour bien commencer la semaine avec un extrait live du groupe nantais INÜIT qui se produisait il y a quelques jours sur la scène des Z’Éclectiques à Cholet…

©MaxPPP – Romain Boulanger

Faut-il encore présenter INÜIT, le groupe pop nantais qui monte doucement mais sûrement ? Actuellement en tournée à travers l’hexagone pour défendre son premier album « indispensable et racé », comme l’écrit le journal des Inrocks, INÜIT était à l’affiche du festival Les Z’Éclectiques à Cholet la semaine dernière, il sera samedi 24 novembre à Stereolux à Nantes et entre les deux sur France 3 Pays de la Loire, un reportage à voir et à écouter vendredi sur notre chaîne et un extrait live ici et maintenant. Tomboy comme si vous y étiez…

France 3 Pays de la Loire : Leroy – Ropert – Evrard – Guilbaud

Slash : Deux jours pour imaginer l’artiste de demain à Nantes les 22 et 23 novembre

Après les BIS, la ville de Nantes accueille un nouvel événement dédié aux professionnels de la culture et plus précisément cette fois aux musiciens et professionnels de la musique. Son nom : Slash. Son objectif: questionner, débattre et imaginer le futur des musiciens !

Com­ment mieux dif­fuser sa musique sur les plate­formes de stream­ing ? Quelles sont les oppor­tun­ités à saisir pour les musi­ciens dans l’industrie du jeu vidéo ? Quels sont les nou­veaux médi­as musi­caux ? C’est quoi une suc­cess story d’artiste ? De quoi sera fait le futur d’un musi­cien d’ici 2030 ?

Ce sont là quelques-unes des questions qui seront abordées au cours de cette convention musicale européenne, première du nom, organisée les 22 et 23 novembre à Nantes sur trois lieux distincts, Trempolino, Stereolux et Atlanbois.

Au programme, des tables rondes, des con­férences, des mas­ter­class, des ren­contres, des work­shops, autour d’une soixantaine de participants, musiciens, compositeurs, journalistes, directeurs artistiques ou programmateurs. Tout est gratuit mais sur inscription ici-même.

15 Nov

Les Z’éclectiques, tous les groupes qu’il faut voir en un clic

Du jazz à la pop, en passant par l’électro ou le space afro-disco, peu importe le style, le festival Les Z’éclectiques fête ses vingt ans du 15 au 17 novembre à Angers, Chemillé et Cholet autour d’une programmation comme toujours ouverte, curieuse et populaire. On vous dit tout ici…

© JULIE OONA

Pendant trois jours, du 15 au 17 novembre, les Z’éclectiques nous offrent pour ses 20 ans un plateau de choix, une Collection Automne réunissant une bonne quinzaine de groupes ou artistes d’envergure nationale, voire internationale, mais aussi des artistes locaux ou émergents, de quoi repartir dans tous les cas avec une surdose de vitamine. Et ça, c’est plutôt bon pour affronter l’hiver qui arrive…

On commence avec qui ?  En fait, tout a commencé le 14 novembre, date passée au moment d’écrire ces quelques lignes, un concert rencontre à la médiathèque de Cholet avec les Angevins Des Lions Pour Des Lions. Bon, c’est passé, alors passons…

Mais dès ce jeudi soir, on entre dans le dur avec une soirée électro – hip hop à l’espace culturel de l’université à Angers. Deux groupes au programme : CTRFÇN, dîtes Contrefaçon, et SEIN…

Vous dormez un peu, si vous le souhaitez, un petit café, et on se donne rendez-vous le vendredi 16 novembre, au Jardin de Verre à Cholet cette fois, en compagnie de deux noms nantais, Inüit et Voyou, de la pop dans les deux cas, et le coup de coeur des organisateurs, Kepa. Nous, notre coup de cœur serait plutôt Voyou mais peu importe, ils jouent le même soir et au même endroit. Pas de choix à faire ici…

Idem pour le samedi, si vous préférez Agar Agar à Bagarre, Thérapy Taxi à Feu! Chatterton, Romeo Elvis à Boris Brejcha, Soviet Suprem à Winston Mcanuff, ou le contraire, pas la peine d’avoir développé un don d’ubiquité exceptionnel pour les voir et les entendre, ils seront tous sur la scène du théâtre Foirail à Chemillé. Nous, on aime Thérapy Taxi et son côté un peu rock, un peu pop, un peu rap, un peu électro, un peu variété…

Et ce n’est pas fini. Le 17 novembre et à Chemillé toujours , une nouvelle scène, la Zec Lab, sera dédiée à la découverte, à l’émergence, avec des artistes locaux ou des ovnis musicaux comme, Clara Luciani, Des Lions Pour Des Lions, Les Pascals ou encore The Mauskovic Dance Band.

Voilà, vous savez tout mais si ça ne suffit pas, vous pouvez toujours aller voir ici.

Eric Guillaud

Sorties de secours : Johnny Mafia, Arno Futur, PIND, Inüit au programme du week-end

Du rock garage qui a du sens, du punk qui n’est pas mort et de la pop made in Nantes… c’est notre sélection serrée, très serrée, des concerts du week-end en Pays de la Loire. À vous de jouer…

© Jessica Calvo

Ils sont quatre, viennent de la bonne ville de Sens, qu’ils ont décrétée unilatéralement « capitale du monde », et comptent bien noyer l’hexagone sous onde sonore tendance rock garage sauvage. C’est en tout cas bien parti avec leur nouvel album tout juste sorti, Johnny Mafia rejoint les MNNQNS et les Pogo Car Crash Control dans le top des groupes français qui montent qui montent qui montent… Ils seront en concert à La Charrue étoilée à Châteaubriant le 16 novembre

Punk is dead ? Punk is not dead. La preuve avec cette journée d’étude PIND proposée par Trempolino à Nantes le 17 novembre autour d’un projet de recherche universitaire consacré à l’histoire de la scène punk en France depuis 1976 jusqu’à nos jours. Je sais, ça fait un peu sérieux mais au delà des débats et autres tables rondes, trois groupes joueront en soirée: Arno Futur, Toxxic TV et Psychotic Unicorns. Et c’est gratuit !

Tout va bien pour Inüit ! Le groupe nantais vient de sortir son premier album, Action, jugé par Les Inrocks comme « indispensable et racé ». Côté concerts, ils n’arrêtent pas, ils seront à Stereolux à Nantes le 24 novembre et avant ça à l’affiche des Z’éclectiques du côté de Cholet le 16 novembre

C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.

Découverte. YEAST en concert ce jeudi 15 novembre au Ferrailleur à Nantes

Trois EP au compteur, pas mal de concerts à travers l’hexagone, une musique pop décomplexée, sexy et funky, une énergie rock, le combo lyonnais YEAST débarque à Nantes avec la ferme intention de dérouiller toutes articulations réfractaires. Interview…

© Maxime Thevenon

Le week-end approche et vous sentez monter en vous comme une folle envie de remuer du popotin en rythme ? C’est normal. Et ça tombe plutôt bien, nul besoin d’ordonnance ou d’invitation VIP, direction le Ferrailleur où se produit ce soir YEAST, un combo lyonnais qui commence sérieusement à faire parler de lui sur la scène pop made in France. La preuve, il est en interview sur notre blog !

YEAST, c’est qui c’est quoi ?

YEAST, c’est Léo (chant/guitare/clavier), Arthur (guitare), Judicaël (basse/synthé) et Cyril (batterie). On existe depuis maintenant 4 ans, et on vient de sortir notre 3e EP, « Dust of Light » le 12 octobre dernier !

YEAST, levure en français. Pourquoi ce nom ? 

On a souvent cette image inconsciente du groupe qui brainstorme pendant des mois pour trouver un nom, et ce n’est pas du tout notre cas ! Le nom YEAST nous est venu hyper naturellement. De base parce qu’on trouvait que ça sonnait bien et que graphiquement c’était joli, tout simplement, et ensuite parce que la base de notre musique est très légère, très aérienne. On s’est dit que ça collait bien et que ça nous correspondait, et en plus c’est un nom qui a le mérite d’intriguer donc banco.

Votre musique est à la fois joyeuse, dansante, pop décomplexée, foncièrement funk, et en même temps un brin mélancolique. C’est comme ça que vous l’imaginiez à vos débuts ?

En partie, ce n’est pas quelque chose d’évident à prévoir ! Je dirais que la base pop décomplexée à la fois joyeuse et mélancolique est arrivée vraiment au début. On s’est rendu compte qu’on aimait beaucoup ce paradoxe qu’on retrouvait dans nos chansons, et la pop, c’est tout simplement l’esthétique de base que nous voulions faire. En fait, c’est surtout ces deux dernières années que nous avons évolué. On a passé un cap en rencontrant des artistes comme Jain, Talisco, Part Time Friends, Her… On a commencé à jouer dans de grandes salles, à aborder la musique d’une façon plus mature, à nous poser de nouvelles questions… C’est au final assez récemment que nous avons pris un tournant plus dansant et funky, c’est un aspect qu’on cherchait à ajouter à notre musique depuis longtemps, mais sans forcément avoir réussi à mettre le doigt dessus jusqu’ici.

On sent pas mal d’influences diverses dans vos chansons mais quel groupe, quel artiste, album ou concert vous a donné envie de faire de la musique ?

On a tous un parcours propre à nous même, et malgré quelques références communes, on a tous eu ce déclic de façon différente. Ce qui est sûr, c’est qu’on a tous eu la chance d’avoir écouté des disques supers dans la voiture de nos parents ! Bowie, The Doors, Supertramp, The Stranglers… Et ensuite, on s’est tous construits individuellement au fil du temps. C’est assez délicat comme question, parce qu’on écoute pas du tout la même chose à l’âge où on commence à faire de la musique qu’à celui où on en a fait notre métier.

Plus généralement, quelles sont vos influences ?

Les groupes qu’on aura tendance à citer le plus souvent seraient des groupes comme Foster the People, Foals, Phoenix, ou plus récemment des groupes comme Parcels ou The 1975, qui nous ont beaucoup marqué par leur créativité et leur laisser-aller dans l’écriture de leur musique. Après, on écoute et on s’inspire de tout ! Ce n’est pas parce que la base de notre musique est pop qu’on s’arrête à ça. Par exemple, en live, on a une attitude très rock. Ce n’est pas quelque chose de calculé, c’est comme ça, c’est naturel. On n’hésite pas non plus à s’inspirer de compositeurs classiques, de producteurs électro… il n’y a pas de règle en fait.

Quel album aurait tendance à tourner sur vos platines en ce moment ?

Il y a l’album de Parcels et le dernier Foster the People justement, qui prennent pas mal de place en ce moment ! Sinon il y a les derniers albums de Kimbra, Phoenix, l’Impératrice… On a quand même été pas mal gâtés ces derniers mois.

Vous venez de Lyon, c’est le bon endroit pour vivre, trouver l’inspiration et développer un projet comme le vôtre ?

Comme partout, c’est un endroit avec des plus et des moins, c’est une ville superbe, agréable à vivre, il s’y passe plein de chose, il y a des artistes extraordinaires un peu partout… Mais en même temps c’est très compliqué de sortir de Lyon quand on fait de la pop, du rock, ce genre de musique. Lyon est une ville qui a une culture électro hyper forte, et c’est tout sauf facile de tirer son épingle du jeu dans ces conditions. C’est simple, les choses ont commencé à bouger pour nous le jour où nous avons décidé d’aller faire des petits concerts dans des bars, des clubs, un peu partout en France. Au-delà de ça, ça nous a fait un bien fou de prendre la route et de partir à l’aventure. On garde des souvenirs exceptionnels, notamment du Grand Ouest.

Qu’est-ce que vous vous racontez dans le van pendant les longs voyages?

On y passe beaucoup de temps dans ce van, alors si on devait tout te lister, on en aurait pour un bon moment ! On parle de tout et de rien, on peut se raconter n’importe quoi et piquer des grands fous rires entres potes, comme avoir des discussions sérieuses avec notre manager qui nous accompagne sur presque tous les concerts, ou simplement ne rien dire et regarder le paysage. Ou encore le téléphone et Netflix, c’est une invention formidable.

Vous avez environ 4 ans d’âge, 3 EP et pas mal de concerts au compteur. Et demain ?

En 4 ans on a fait quand même pas mal de choses, parfois on regarde derrière nous et on se dit « On a déjà fait tout ça ? je ne m’en étais même pas rendu compte… ». Mais on est loin d’avoir fait le tour de la question. On a encore beaucoup de concerts en perspective, en France et ailleurs, notamment une tournée d’une semaine début décembre en Allemagne. On continuera à défendre notre dernier EP sur scène en 2019, en nous allons tout doucement commencer à nous pencher sur l’écriture d’un premier album.

Merci YEAST

Propos recueillis par Eric Guillaud. YEAST sera en concert ce jeudi 15 novembre au Ferrailleur à Nantes avec Two Faces et The Rams. Plus d’infos sur YEAST ici

Exclu. Gaume retourne à l’école !

Non, rassurez-vous, Gaume n’abandonne pas la musique. L’école pour lui, c’est bien fini. Mais il y est tout de même retourné le temps de clipper le titre Soothing as a Hurricane. Résultat : une vidéo absolument magnifique, signée Jeremy Bleunven et tournée avec des élèves de l’école de l’Ange Gardien à Pornic. Gaume nous raconte tout…

© Jean Marie JAGU

« C’est un titre que j’ai composé en 2017. Pour le clip, j’avais envie de tourner de belles images, spontanées, esthétiques sans avoir forcément de scénario. Par rapport à la dernière phrase de cette chanson : « Down on memory lane / plongé dans les souvenirs », j’ai eu l’envie de tourner le clip dans une école pour illustrer le souvenir, le retour à l’enfance. C’est d’ailleurs le seul rapport entre le clip et la chanson ! J’ai eu l’occasion de rencontrer le directeur de l’école de l’Ange Gardien à Pornic, enthousiaste et partant pour l’aventure. Les gamins d’une classe de CM2 ont travaillé le texte de cette chanson en cours d’anglais en amont du tournage.

J’étais persuadé que retourner à l’école avec des grattes électriques et en mode Rock, ça ferait plaisir à mes parents (rires). J’ai quitté l’école assez jeune mais je ne suis pas rancunier, l’école a été plus rancunière envers moi ».

« Au mois de juin, on a réuni tout ce beau petit monde, une quinzaine d’acteurs en herbe. Les gosses ont bien joué le jeu, l’exercice n’était pas évident, on leur demandait de chanter face caméra en gros plan devant les copains. Heureusement, on a eu des moments de relâchement où musiciens et gamins jouaient au ballon, au pendu dans la cour. On trouvait ça beau toute cette innocence et cette énergie. Tous ces moments ont été filmés par notre réalisateur Jeremy. Ces plans se sont retrouvés au montage sans préméditation de notre part.

On a fait un concert à Pornic cet été sur la plage dans le cadre de la programmation estivale de la mairie. Les gamins sont montés sur scène pour faire le morceau avec nous. C’était excellent !

On peut dire qu’on a passé de bons moments à faire les cons avec des gamins qui s’éclatent : c’est cette spontanéité qu’on visait pour le clip et ça a matché.

Tout le mois de novembre, le clip sera diffusé au Cinéma Saint Gilles à Pornic tous les jours avant chaque séance. Merci à eux ! Le clip a été diffusé en avant-première pour les enfants au cinéma le 1er novembre. Ça m’a permis de faire la première partie de Queen sur le film Bohemian Rhapsody… #consécration »

Propos recueillis par Eric Guillaud le 6 novembre 2018

Gaume est à l’affiche des Rockeurs ont du coeur le 15 décembre à Stereolux à Nantes. On vous dit tout ici

Plus d’infos sur Gaume là