Ils sont nantais d’adoption mais brestois de naissance, quatre potes qui se sont rencontrés sur les bancs de l’école et ont décidé un beau jour de se lancer dans la musique sous les couleurs de The Slow Sliders. Ils viennent de sortir leur premier album Glissade tranquille chez Kythibong. Rencontre…
On le compare – trop? – souvent à Mac DeMarco, la coqueluche de l’indie pop à la cool. Il y a de ça très certainement. Mais The Slow Sliders n’a pas attendu que le nom du musicien américain soit sur toutes les lèvres pour affirmer son style, tranquille.
Un rythme posé, des guitares sous effet, une voix lointaine, flottante, et des mélodies finement ciselées qui s’invitent dans votre cerveau droit pour ne plus jamais en sortir, c’est la marque de fabrique du groupe aujourd’hui installé à Nantes.
Mais ne vous fiez pas aux apparences, derrière cette nonchalance de circonstance se cachent quatre musiciens qui ne sont pas venus jusqu’ici pour faire de la figuration. En huit ans, Gwen (guitare solo), Clovis (batterie), Victor (chant et basse) et Axel (guitare rythmique) ont acquis l’expérience nécessaire pour envisager aujourd’hui de voir plus loin, tourner à l’étranger et surtout enregistrer un premier album. Il s’appelle Glissade tranquille, huit titres qui brillent par leur écriture et leur tonalité à la fois mélancolique et lumineuse.
Nous avons rencontré Gwen et Clovis par un jour un peu triste, un peu gris, pas très loin de leur studio de répétition, pas très loin non plus de la salle de concerts nantaise Stereolux où le groupe se produira le 20 octobre. Nous avons évoqué l’album, les influences du groupe, les textes, Mac DeMarco et même la chanson Yesterday. Interview ici et maintenant…
Plusieurs dates à vernir pour voir et écouter The Slow Sliders : le 18 Octobre à l’Échonova à Saint-Avé, le 19 Octobre au Portobello à Caen, le 20 Octobre à Stereolux à Nantes, le 22 Octobre à l’Expression libre à Troyes, le 23 Octobre au Point Éphémère à Paris, le 24 Octobre à Fuzz’Yon à La Roche-sur-Yon, le 26 Octobre à L’avant-Scène à Bordeaux, le 22 Décembre à l’Espace Glenmor àCarhaix…
Vous avez les mains moites, les jambes fébriles, la gorge sèche ? Vous sentez comme une petite boule au ventre ? Rien de grave, juste les symptômes d’une impatience. Encore quelques heures et tout devrait rentrer dans l’ordre. La billetterie du Hellfest ouvre mercredi à 10h. On fait le point avec vous…
Ordinateur ? Ok. Carte bleue ? Ok. Vérification du bon fonctionnement du clavier ? Ok. Vérification de la souris ? Ok. Ravitaillement de base en cas de besoin ? Ok. Souplesse de l’index ? Ok. Tout est Ok, vous voilà fins prêts pour cliquer et obtenir votre sésame pour la quatorzième édition du Hellfest. Encore faut-il ne pas se tromper de date et de lieu. On récapitule…
C’est l’histoire de quatre jeunes gens qui se lancent en 1998 dans l’organisation d’un festival. C’est l’histoire de centaines d’artistes qui y ont cru, de milliers de festivaliers, bénévoles et techniciens qui l’attendaient chaque année. C’est l’histoire d’un rendez-vous au cœur de l’été qui aura connu 16 éditions. Couvre Feu s’arrête…
Fallait-il voir dans cette affiche de l’édition 2018 l’annonce de la mort du festival ? Peut-être. Après 20 ans de dur labeur, de sueurs froides et chaudes, d’aléas divers et variés, de course au financement, de grands bonheurs aussi, les organisateurs ont décidé aujourd’hui de jeter l’éponge dans un communiqué sombre et amer publié sur le site et les réseaux sociaux du festival.
« N’ayant plus les moyens de donner vie à nos utopies, c’est avec une profonde tristesse que nous avons dû nous résoudre à mettre fin à notre association et qu’une procédure de liquidation judiciaire a été mise en place ».
Couvre Feu a réuni en seize éditions 400 000 spectateurs, plus de 500 artistes, parmi lesquels Les Ogres de Barback, Tagada Jones, Matmatah, Thomas Fersen ou The Offspring, mais aussi des centaines de bénévoles, des techniciens venus de toute la France, des moments d’exception comme le concert de Manu Chao dans le parc du Pointeau à Saint-Brévin ou encore l’expérience de l’itinérance en 2016…
Et de s’expliquer : « Bien que nous soyons conscients que les embouteillages de 2017, la présence démesurée des forces de l’ordre aux abords du festival, l’incompréhension du projet itinérant en 2016, les polémiques malveillantes et mal informées suite au départ de Corsept, ont eu un réel impact sur le Festival Couvre Feu, l’heure n’est plus à l’analyse des raisons de la situation. Quand on est organisateurs de festival culturel, on ne peut supporter d’être injuriés ou menacés parce que l’État décide de mobiliser 200 gendarmes pour contrôler des personnes venant faire la fête ou parce qu’on déplace un événement de 15 km… »
Un précurseur du dub hexagonal, une figure de la soul rennaise et un groupe qui va vous faire danser, c’est notre sélection serrée des concerts du week-end en Pays de la Loire.
Il aurait pu tout arrêter au décès de son alter ego Simon Carpentier en août 2017, mais non, Victor Solf a choisi de continuer l’aventure en sa mémoire. Le premier album de Her est sorti en mars 2018, depuis, le Rennais est en tournée à travers la France, il sera jeudi 4 octobre au Chabadaà Angers…
Son nouvel album sort cette semaine et signe son grand retour au dub originel, celui de la Jamaïque, celui aussi de ses débuts, Zenzile sera en live le 6 octobre au Jardin de Verre à Cholet en compagnie de Jay Ree et Jamika…
Pop, funk, hip hop, jazz, électro… le Français Hervé Salters, à l’origine du projet General Elektriks, aime le mélange des genres et, forcément, ça se sent à l’arrivée. Sa musique est la résultante de toutes ces influences. En concert, pas de temps morts, ça chante, ça danse… On saute dans ses baskets et direction le centre culturel de Saint-Sébastien-sur-Loire le vendredi 5 octobre…
C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.
Et hop, un petit clip tout droit sorti des tiroirs de la maison de disque Rhino pour fêter comme il se doit la parution d’une édition spéciale du quatrième album des Ramones, Road To Ruin, à l’occasion de ses 40 ans. Oui, déjà ! Au programme : une version remasterisée de l’original, le mix ‘40th Anniversary Road Revisited’, un live inédit enregistré au Palladium de New York en 1979, et plein d’autres extras, rares et indispensables.
Les inconditionnels des Ramones reconnaîtront les lieux de l’enregistrement, une cave déjà utilisée pour le clip Don’t Come Close.
Elle s’appelle Immortels et a été écrite par Dominique A pour Alain Bashung à l’époque de l’album Bleu Pétrole. Finalement non retenue, elle est dévoilée aujourd’hui sur les plateformes de streaming et de téléchargement en prélude à la parution en novembre de l’album posthume En Amont…
« Je ne t’ai jamais dit mais nous sommes immortels / Pourquoi es-tu parti avant que je te l’apprenne ? / Le savais-tu déjà? Avais-tu deviné ? / Que des dieux se cachaient sous des faces avinées »
Troublantes, émouvantes et si belles, les paroles d’Immortels chantées par Alain Bashung prennent une autre dimension. Dominique A, qui l’avait écrite pour Alain Bashung à l’époque de l’album Bleu Pétrole, l’avait finalement reprise à son compte « pour lui donner quand même une existence », déclarait-il au journal Les Inrocksen 2009. Si l’interprétation de Dominique A était déjà un petit bijou, Bashung, on le découvre aujourd’hui, se l’était complètement appropriée au point d’en faire un joyau. « Il l’a travaillé longtemps. Pour moi, c’était la chanson de Bashung ».
L’album posthume En Amont est annoncé pour le 23 novembre chez Barclay avec dix autres titres sélectionnés par la musicienne et productrice Édith Fambuena et sa veuve Chloé Mons qui écrit : « Pour Alain, un album est un grand terrain d’aventure et d’expériences où il faut essayer, oser, se tromper, aller jusqu’au bout du doute, et parfois trouver. Des variations multiples et une tentative d’explorer l’infini à sa manière… ». Et de conclure : « En résulte un album qui lui ressemble à cent pour cent, où l’on retrouve son amour du rock’n’roll, passant entre autres par les belles et subtiles brutalités de Gene Vincent et d’Alan Vega, mais aussi son lyrisme si singulier et son amour pour la langue française qu’il aimait tant réinventer. J’espère que vous l’aimerez ». C’est bien parti pour !
Un festival punk, l’anniversaire d’un label nantais, une grande chanteuse folk-rock accompagnée d’un quatuor à cordes, c’est notre sélection serrée du week-end, des concerts incontournables en Pays de la Loire.
Et on reparle du Zinor. Après l’Aïnu Fest la semaine passée, la salle de concert de Montaigu accueille le Things We Fest, 2e édition. Au programme des concerts mais pas seulement avec, dans le plus grand désordre, Litovsk de Brest, Long Way Home de Nantes, Cookies de Paris, Eat Me d’Angleterre, Chacals d’Angers, Krokodil de Reims… ou encore Buried Option d’Orléans. Bref, pas loin de 25 groupes venus d’un peu tous les horizons pour deux belles soirées les 28 et 29 septembre…
Sept albums studio, des collaborations tout à fait remarquables, notamment avec Benjamin Biolay, une voix incroyablement belle et émouvante, pas mal de singles qui nous tournent encore dans la tête, essayez Sur le Fil et vous comprendrez, bref une vie déjà bien remplie. Mais Keren Ann n’est pas du genre à se reposer sur ses lauriers, la voici à nouveau sur la route, en compagnie cette fois du quatuor à cordes Debussy. Et c’est beau à en pleurer ! L’artiste sera au Quai à Angers le 29 septembre et au LU à Nantes le 2 octobre…
Il a sorti des disques de Minitel Rose, Rhum For Pauline, Pégase, Disco Anti Napoleon, Romantic Warriors, College, Ricky Hollywood, Mou ou encore Ed Mount, le label FVTVR fête ses 10 ans et vous invite à souffler les bougies en compagnie des artistes du label dans le cadre de la 4ème édition de son festival qui se déroulera le 29 septembre à Trempolino à Nantes… Au programme : exposition, concerts, performance, DJ, lives acoustiques…
C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.
C’est une figure du rock angevin qui vient de mourir à 58 ans foudroyé par une crise cardiaque, Dominique Pasquini était le guitariste des Noodles et des Dirty Hands dans les années 90, il a aussi « largement contribué à l’existence du Chabada dont il est à l’origine du nom », rappelle ce soir un communiqué de la scène de musiques actuelles d’Angers.
Ils sont quatre, ont tous 25 ans mais déjà une belle expérience au bout des doigts, quelques concerts ici ou là, une participation au festival texan South by South West et deux EP dont le dernier, Silent Blue Day, est attendu pour le 12 octobre. Rencontre avec le groupe angevin JUMAï…
Océane au chant, Elliot à la guitare baryton, Jérémy à la guitare, Josselin à la batterie, voilà pour le line up de JUMAï, quatre fêlés de musique qui se rencontrent sur les bancs du Lycée Léonard de Vinci à Montaigu et décident de monter un groupe.
Nous sommes alors en 2016. Deux petites années plus tard, JUMAï s’est fait un nom sur la scène angevine avec un style bien à lui, de l’indie tendance « Mystic pop » qui oscille entre le calme et la tempête avec des guitares à la rage contenue, une petite touche électro et une voix féminine envoûtante aux accents mystiques.
En attendant la sortie de son deuxième EP, Silent Blue Day, le groupe vient de partager un nouveau clip sur les réseaux sociaux, Loneliness. Interview…
Jumaï, c’est qui c’est quoi ?
Océane. JUMAï, c’est 4 musiciens et amis qui ont décidé de mettre en commun leur gout pour la musique !
Josselin. C’est l’écho mystique de l’influence de la pop et du psyché qui résonne dans la cuve où on répète.
Vous êtes un groupe très jeune, 2 ans d’existence je crois, qui ou qu’est-ce qui vous a donné envie de faire de la musique ?
Elliot. J’ai depuis longtemps envie de faire de la musique, surtout en groupe. J’ai déjà eu plusieurs projets avant Jumaï, mais celui-ci est le plus abouti.
Josselin.J’ai toujours fait de la musique, depuis mon plus jeune âge, c’est un acte totalement nécessaire.
Océane. J’ai toujours chanté, et c’est devenu une envie plus grande que tout le reste donc je me suis dit, pourquoi pas se lancer ?
Jouer entre amis c’est bien mais en faire profiter les autres c’est mieux. Comment abordez- vous la scène aujourd’hui ?
Océane. La scène, c’est ce que je préfère. C’est un moment unique où tu donnes tout ce que tu peux au public. Il y a des fois où ça marche et d’autres non. C’est ça qui me plait, chaque concert est différent.
Elliot. Pour moi, la scène est un moyen d’exprimer énormément de sentiments que je ne pourrai pas partager autrement. C’est un endroit où l’on se retrouve réellement a nu devant des gens, ou l’on ne peut pas tricher.
Josselin.La scène, ce n’est pas seulement faire profiter de notre musique en live mais c’est plutôt se révéler, se montrer différent du quotidien, tout en ayant une sorte de masque, de barrière, qu’est la scène.
Vous avez un local de répétition qu’envieraient pas mal de musiciens je crois. Pouvez-vous nous en dire un mot ? A-t-il une influence sur votre son, votre univers ?
Elliot.C’est une cuve en béton armé, un sous-marin, on s’enferme dedans et soudain le monde extérieur parait extrêmement lointain.
Océane. Ce lieu a eu une énorme influence sur notre son car l’espace est grand et rond donc ça peut vite devenir un brouhaha de son. On a réussi à l’apprivoiser et on sait comment ça sonne maintenant. Si un morceau ne sonne pas bien dans la cuve, c’est qu’il n’est pas encore abouti.
Josselin. La cuve permet déjà de tous se voir et de tous s’aligner sur un cercle et ainsi faire que chacun apporte sa pierre à la création. Ensuite, au niveau acoustique, c’est rigoureux et donc c’est d’abord un travail sur le son et l’identité qu’on veut lui donner.
Vous sortez un nouvel EP le 12 octobre. Comment abordez-vous ce moment ?
Elliot. La sortie d’un disque est toujours un processus assez long, lorsque l’on aborde sa sortie, c’est un grand moment d’impatience.
Océane. On a hâte ! L’EP est prêt depuis quelques mois déjà, on a hâte de voir comment le public le reçoit.
Josselin. Pour ma part, l’enregistrement c’est quelque chose à inscrire dans le marbre mais de ce nouvel EP découlent aussi d’autres concerts et ce sont plutôt ces opportunités de marquer l’esprit des gens à un instant donné qui est excitant. Avec l’EP on se donne juste de nouvelles armes pour y parvenir.
On a du mal à vous catégoriser s’il fallait le faire. Comment définiriez-vous votre style ?
Josselin.Justement, ne retient-on pas mieux un groupe qui ne colle à aucune étiquette ? Si on ne peut pas nous ranger dans un style, pour moi c’est qu’on en a trouvé un unique et ça me plait.
Océane. Quand on me demande je dis qu’il y a des grosses guitares, du son électronique et une voix plutôt lyrique. Avec ça les gens peuvent imaginer ce qu’ils veulent :).
Quelles peuvent être vos influences ?
Océane. J’adore PJ Harvey, Fever Ray, deux artistes qui savent se renouveler à chaque fois, et qui créent un univers autour de leur musique. Pour parler pour Jérémy, je sais qu’il adore Radiohead !
Josselin.Elles sont variées ! Pour moi c’est les Suuns, Arcade Fire, Franz Ferdinand.
Elliot. Pour ma part je m’inspire de groupes psyché comme les Black Angels, des groupes mêlant de l’électro comme Nine Inch Nails ou les Suuns.
Que racontent vos textes ? Comment les écrivez-vous?
Océane. C’est principalement moi qui écrit, et parfois avec Jérémy. Ça raconte des expériences que l’on peut avoir dans la vie, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. J’aime bien utiliser des métaphores dans mes textes. Je les écrit souvent seule le soir, et généralement ça marche mieux quand je suis un peu triste :).
Vous êtes allés en mars dernier au festival South by South West à Austin, Texas. Que tirez-vous de cette expérience ?
Elliot. Énormément de choses ce sont passées aux US. Le projet a énormément évolué là-bas, mais le point crucial a été la cohésion en live.
Josselin.Austin c’était cool ! Par contre même si nous étions très bien accompagnés et reçus là-bas, nous étions seuls, noyés dans une masse de groupe incalculable et de ce fait on s’est libéré de pas mal de chaines et on a beaucoup appris sur « faire le show » et pas juste jouer nos morceaux. C’était constructif et libérateur.
Océane. C’était incroyable. Ça nous a permis de nous confronter à un autre public et de jouer un maximum de fois en peu de temps. 9 fois en 6 jours.
Au delà de l’EP, quels sont vos projets pour les mois à venir ?
Océane. On travaille sur une petite tournée au mois de janvier, février. On commence aussi à préparer une deuxième tournée aux États-Unis.
Elliot. On veut aussi s’entourer de partenaires (label, éditeur…) pour pouvoir aller plus loin.
Josselin. Et bien sûr continuer à composer des morceaux et aller les jouer partout ! 😉
Merci Océane, Elliot, Josselin et Jérémy, merci JUMAï
Du métal japonais, un festival underground pour gens spéciaux et du rock de chambre… c’est notre sélection serrée du week-end, des concerts incontournables, surprenants ou déroutants. Hey Ho Let’s go !
Du métal japonais ? Ceux qui fréquentent assidûment le Hellfest savent pertinemment que ça existe. Et si vous en doutez encore, alors direction Fuzz’Yon à La Roche-sur-Yon ce week-end, dimanche 23 septembre à 19h30 pour être précis, où se produira le groupe Vampillia. Son univers est vraiment très surprenant, à la fois doux comme la rosée du matin sur les cerisiers en fleurs et brutal comme un tsunami. C’est expérimental, avant-gardiste, inclassable… mais follement nécessaire. Vampillia partagera la soirée avec les Français Alcest…
On reste en Vendée avec l’Aïnu Fest 8e édition, une « rencontre populaire et festive de gens un peu spéciaux et particulièrement adorables autour de la musique dite amplifiée », prévient l’organisateur. Pour vérifier si vous êtes un peu spécial, direction le Zinor à Montaigu les 21 et 22 septembre. Pas mal de groupes à l’affiche dans un peu tous les styles, du reggae inversé avec Ouverture Eclair, du mur du son avec Sister Iodine, du doom jazz avec Gura, du rap minéral avec Sous-Terre, du Grave New Punk avec Sexplosion et même du Gabber musclée avec Hilguegue. Que demandez de plus ?
On termine avec Chien Fantôme, un groupe nantais qui fait dans le rock de chambre, oui oui, de la musique calme et tranquille, douce et mélancolique, aux « nuances crépusculaires et cordes fantomatiques ». Une batterie, une guitare, un violon, un violoncelle, deux voix, et hop nous voilà partis pour un beau voyage. Ah oui j’oubliais, Chien Fantôme sera en live à La Grande Bargeà Nantes le 21 septembre…
C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.