Objectif Lune pour Epsylon. Après un album sorti en mars et une tournée générale de concerts un peu partout en France, le groupe vendéen nous offre un voyage au-delà de l’atmosphère, au-delà des rêves, avec ce magnifique clip tourné par Nicolas Michon et posté le 21 juillet. Et ce n’est pas un hasard…
« Il y a 10 ans, on n’aurait jamais pensé en arriver là où on en est aujourd’hui… », nous expliquait Antonin (bassiste) dans une interview réalisée en février 2018. Près de douze ans de scène, cinq albums studio, un live, des centaines de concerts en Europe mais aussi en Chine, au Koweit ou au Kazakhstan… C’est une évidence, les six musiciens du groupe de rock celtique Epsylon sont allés bien au-delà de leurs rêves les plus fous. C’est justement le thème de ce nouveau clip, quand les rêves deviennent réalité. Cette fois c’est Manu, le guitariste, qui s’y colle, il nous l’explique le pourquoi du comment et inversement ici et maintenant…
« À l’heure de la célébration mondiale du 50e anniversaire du premier pas de l’homme sur la Lune (Apollo 11), et comme un clin d’œil, nous avons dévoilé le 21 Juillet le clip de la chanson Astronaute figurant sur l’album du même nom (sortie en mars 2019 – Arsenal Production / Coop Breizh). Nicolas Michon, chanteur du groupe a franchi le pas de la réalisation du clip en passant derrière la caméra ».
« Nous voulions par ce clip rappeler l’importance de s’accrocher à ses rêves. Tout au long de la vidéo, nous suivons les étapes marquantes d’un enfant, Tom, clin d’œil à Thomas Pesquet, qui a toujours eu dans le coin de sa tête l’idée de devenir astronaute.
Nous voulions un clip chargé d’émotion, tourné dans notre région d’origine et portant des valeurs qui nous sont chères. À l’instar du comédien dans le clip, nous avons toujours cru en nos rêves, depuis tout jeune, on peut d’ailleurs faire un parallèle avec notre rêve qui était de pouvoir vivre un jour de notre musique. Pour les acteurs, on a lancé un appel sur nos réseaux afin de s’entourer de jeunes de notre région qui ont su apporter la fraîcheur et la spontanéité que l’on recherchait pour ce clip ».
Pas de vacances pour Epsylon, le groupe sera en concert au festival Les Twins à La Bazoge (50) le 23 août, à Agrinight au Cloître-Pleyben (29) le 24 août, à la Fête de la Saint-Loup à Aubière (63) le 31 août, au festival Patrimoine Vivant à Château-Thierry (02) le 21 septembre, au Festi’Gartempe à Montmorillon (86) le 22 septembre, aux Celtivales à Pierrefontaine-les-Varans (25) le 26 octobre…
En quatre ans, trois festivals de musiques actuelles ont purement et simplement disparu du paysage ligérien, un autre a rendu les décibels avant même sa première édition, tous sont aujourd’hui plus ou moins obligés de se repenser. Pourquoi, comment ? Réponses ici…
Cest l’un des premiers festivals ligériens à avoir jeté l’éponge au cours de ces cinq dernières années, Rock’ Estuaire à Cordemais, un petit tour en 2015 et puis s’en va ! L’affiche de la deuxième édition, en 2016, promet pourtant d’être belle. Sinsemilia, Luke, Les Ramoneurs de Menhirs, Billy the Kick, Aaron ou encore Shake Shake Go doivent s’y produire mais les organisateurs annulent tout huit jours avant l’événement. En cause ? Les faibles ventes de la billetterie !
« C’est un jour difficile pour les amateurs de rock du Pays de la Loire… »,expliquent les organisateurs dans un communiqué posté le 2 juin 2016 sur leur compte Facebook. « Malgré l’élan de soutien autour du Festival Rock’Estuaire, les ventes de la billetterie ne permettent pas aujourd’hui de couvrir les frais liés à l’organisation. Nous n’avons d’autres choix que d’annuler la seconde édition de ce Festival 100% bénévoles ».
« La passion n’a pas suffi », déplorent alors les organisateurs. De passion, pourtant, Bruno Fouchard et Emmanuel Riailland n’en manquent pas, ni les dizaines de bénévoles qui se mobilisent à leurs côtés.
Malgré les années passées, Bruno Fouchard garde aujourd’hui encore une certaine amertume de cette aventure avortée.« Avec Rock’Estuaire, nous voulions proposer une offre différente avec des artistes que l’on ne retrouvait pas dans les différents autres festivals, nous voulions faire découvrir le rock à des familles. Le public d’aujourd’hui a tellement d’offres de festivals différents qu’il choisit principalement d’aller vers les gros festivals avec des artistes de renom. Le public d’aujourd’hui est difficile. Cette année, je suis allé à La Nuit de l’Erdre principalement pour Editors, je trouvais que c’était un bon choix de programmation et là seulement 100 ou 200 personnes devant la scène. Et oui, ça ne passe pas en radio ».
Ce n’est pas parce qu’on joue très fort qu’on a rien à dire. Connus et reconnus pour envoyer du riff et du son absolument dantesques, les Lofofora n’en sont pas moins des musiciens engagés qui dénoncent les travers de notre société via des textes taillés à l’arme lourde…
Trente ans, oui trente ans, trente ans à envoyer du lourd, un savant cocktail de punk et de metal passé au mixeur de l’engagement politique, voilà la recette magique de ce groupe emmené depuis le début par Reuno au chant et Phil Curty à la basse. Le Hellfest, ils connaissent pour l’avoir déjà fréquenté en 2014 mais ils y reviennent avec la niaque d’une première fois. Ne les manquez pas, vous pourriez le regretter.
Vous rêviez d’un autre monde ? Ne cherchez plus, Shaârghot l’a inventé, un monde post-apocalyptique à souhait, aussi noir que désespéré, aussi métal que punk, aussi électro qu’indus, une musique qui colle au corps et à l’esprit, l’enfer dans toute sa splendeur…
Amoureux amoureuses de k-pop et autres musiques acidulées, passez votre chemin, ici tout est noir jusqu’aux visages des musiciens, c’est l’esprit du groupe parisien Shaârghot qui, dans la lignée d’un Punish Yourself ou d’un Rammstein, influences largement assumées, balance un metal indus énergique et envoûtant. Avec eux, noir c’est noir, mais avec des nuances tout de même…
Vous aimez le gore ? Vous aimez le rock’n’roll ? Alors vous adorerez Banane Metalik et son gore’n’roll, doux mélange d’une culture cinématographique et musicale goulûment absorbée et digérée par les cinq membres du groupe. Au programme ? Un show à vous glacer le sang pour l’éternité…
Banane Metalik n’a jamais fait dans la dentelle, plutôt dans la découpe en gros, avec des riffs lourds et sanguinolents. Sur son compte Facebook, cette bande de Rennais déclare venir de l’enfer, elle y retourne avec un concert qui s’annonce d’ores et déjà saignant… Attention aux éclaboussures !
On le présente parfois comme un Rage Against the Machine à la française et ce n’est pas faux! Depuis plus de 25 ans maintenant, Mass Hysteria balance ses riffs enragés, ses textes engagés et son métal en fusion sur les scènes d’ici et d’ailleurs avec une certaine constance. Le Hellfest? Un graal.
Enragés et engagés, oui, anti-système, non. Et ils ne le cachent pas, les cinq musiciens de Mass Hysteria ne veulent surtout pas passer pour des donneurs de leçon, leur unique ambition est de remettre l’humain au centre de la machine. Plus de 25 ans de scène, 9 albums studio, 4 albums live, des disques d’or sur l’étagère et un passage au Hellfest en 2016 qui a mis tout le monde d’accord, Mass Hysteria revient du côté de Clisson avec Maniac, son dernier album en date, et une impétueuse envie d’embarquer dans son sillage tous les « furieux » et toutes les « furieuses » présents au Hellfest.
Plus de 20 ans de scène, des centaines de concerts un peu partout en France, 7 albums et toujours la même énergie à défendre la black music avec un cocktail à base de blues, soul et funk hautement explosif, Arnaud Fradin et son groupe Malted Milk dégainent un nouvel opus, Love, Tears & Guns. Interview!
Depuis 22 ans, oui presque un quart de siècle, Arnaud Fradin défriche pour nous les territoires de la musique noire américaine, d’abord en duo, ensuite en formation élargie, 7 musiciens à ce jour, 14 dans les grandes occasions.
Blues, soul ou funk, peu importe le style, tout est – ou devient – de l’or entre les mains d’Arnaud et de sa bande de musiciens. La preuve s’il en est encore besoin avec ce nouvel album qui débarque dans les bacs le 24 mai, Love, Tears & Guns, 11 morceaux, autant de pépites à vous faire chalouper du fessier et travailler du ciboulot.
Car oui, Love, Tears & Guns affiche clairement ses prétentions, allumer le dancefloor et ouvrir des fenêtres sur notre monde avec des textes qui parlent de violence, de larmes mais aussi d’amour, des thématiques qui renvoient à la pochette de l’album signée Nakissa Ashtiani, figurant un coeur et un flingue.
Pourquoi tant de haine et d’amour ? C’est une des questions que nous avons posées à Arnaud Fradin, chanteur et guitariste, et Igor Pichon, bassiste et choriste, rencontrés à l’occasion d’un concert en soutien aux migrants le 13 mai dernier à Stereolux à Nantes. Nous avons bien évidemment parlé aussi de musique, d’influences, du label Mojo Hand Records, du monde qui nous entoure et de beaucoup d’autres choses encore. Un peu plus de 10 minutes pour tout savoir, c’est parti, c’est ici…
Malted Milk sera en concert le 25 mai 16h à la FNAC de Nantes pour un showcase-dédicace, le 12 juin au New Morning à Paris pour sa release party, le 14 juillet au Cahors Blues Festival…
À l’occasion de la sortie de son deuxième album, le duo nantais met le feu sur le web de France 3 Pays de la Loire avec une version live exclusive du premier single Self Love Age. En bonus, une interview de Warren et K20…
Ça a chauffé dur ce jour-là sur la scène du Black Shelter à Carquefou. Un seul groupe à jouer, un seul titre à enregistrer, mais une énergie de dingue, une avalanche sonore de tous les instants, une occupation spatiale totale, KO KO MO jouait Self Love Age en live et en exclu pour Supersonikk, le blog de France 3 Pays de la Loire dédié à l’actualité musicale. Et ça donne ça…
Jamais une pochette d’album n’aura dégagé autant d’énergie, du jaune partout, des citrons par centaines, jusque dans le titre, et le duo KO KO MO au milieu de tout ça. Le photographe Jean-Marie Jagu et la graphiste Marie Piriou nous racontent les coulisses de cette création…
Au risque de vous paraître d’un autre siècle, ce qui est de toute façon vrai, je vais vous parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent connaître, un temps où la musique s’écoutait exclusivement sur un support disque, vinyle ou CD.
Aucun fichier numérique à l’époque, aucune plateforme de téléchargement ou d’écoute en streaming, les albums étaient aussi des objets et souvent de beaux objets, aux pochettes rivalisant de créativité et participant clairement a l’image et au succès des groupes. Chacun de nous se souviendra de la pochette de l’album Sgt Pepper and the Lonely Hearts Club Band » des Beatles, assurément l’une des plus célèbres.
Avec le retour des vinyles, l’intérêt pour le bel ouvrage renaît. Dans le jargon artistique, on appelle ça l’artwork. De par leur métier, le photographe Jean-Marie Jagu et la graphiste Marie Piriou y sont particulièrement sensibles. C’est d’ailleurs Marie qui a réalisé la pochette du premier album des KO KO MO, c’est encore elle qui signe la pochette du deuxième, Lemon Twins, avec la collaboration de Jean-Marie, connu sur la place de Nantes et au-delà pour ces photos de concert.
Comment en vient-on à imaginer une piscine de citrons dans laquelle seraient plongés deux musiciens qui ne manquent pourtant pas d’énergie ? C’est ce que nous avons demandé, entre autres, à Marie et Jean-Marie ici et maintenant…
Eric Guillaud
Le nouvel album, Lemon Twins sera disponible dans les bacs et sur toutes les plateformes habituelles le 29 mars. À cette occasion, découvrez Warren et K20, les KO KO MO au complet, en interview et en live sur nos antennes web, à partir de 10h, et télé, dans le journal de 19h.
Le printemps sera chaud et l’été, bouillant. Inutile de consulter une carte météo pour s’en convaincre, non, la hausse des températures viendra cette fois des bacs de nos disquaires préférés. Responsable et coupable, le groupe Elmer Food Beat qui sort un nouvel album. Son nom: Back In Beat. Un seul mot d’ordre : le rock’n’roll. Et un peu les filles aussi…
Elmer Food Beat @Shelly Webster
On ne les changera pas nos Elmer Food Beat. Trente-trois ans qu’ils nous chantent la vie, l’amour, les filles – mais pas que – sur des airs de rock’n’roll à danser jusqu’au bout de la nuit. Et ils en ont fait danser du monde, plus de 1000 concerts à ce jour, cinq albums au compteur, sans compter celui à venir en avril, Back in Beat, et une pelletée de tubes à tomber à genoux et demander pardon pour tant de bonheur.
Car oui, Elmer Food Beat, c’est le bonheur pour tous et pour toutes. Le bonheur de partager une certaine idée du rock’n’roll. Mais au fait c’est quoi pour eux le rock’n’roll ? Réponse ici et maintenant…
On nous a prévenu, et j’ai pu le vérifier sur quelques morceaux, Elmer fait un retour au rock’n’roll, le vrai, avec des gros sons de guitares, des rifs à tous les étages, des chœurs qui font wouhouwouhou tendance Beach Boys et un chant qui vire sur le collectif. Mais c’est quoi le rock’n’roll aujourd’hui ? Un truc de vieux, comme dirait ma fille de 13 ans ?
Vincent. Pas du tout un truc de vieux ; c’est l’essence, l’origine… C’est l’énergie. C’est la base. Regardez KO KO MO vous trouvez ça ringard vous ? Tu peux dire à ta fille d’aller ranger sa chambre !!!
Lolo. Une musique plus ancienne que l’electro / zouc / rap certainement, une musique inventée bien avant la tablette numérique où le portable téléphonique et qui à tout autant révolutionné son monde ; ni une musique de vieux ni une musique pour les vieux, le rock’n‘roll est intemporel désormais. Si tu tapes du pied et si ta tête se balance d’avant en arrière sans pouvoir s’arrêter, c’est probablement que tu es en train d’en écouter, le rock’n’roll aujourd’hui représente toujours ce qu’il a été depuis ses débuts, un souffle de liberté toujours utile pour emmerder ses voisins…
Manou. Rock’n’roll is not dead
Regardez KO KO MO vous trouvez ça ringard vous ? Tu peux dire à ta fille d’aller ranger sa chambre !!!
Et c’est quoi être rock’n’roll finalement ? C’est dormir toute la journée, tout remettre à demain, tomber du haut d’un cocotier, comme vous le chantez dans le potentiel tube de l’été ça c’est rock ?
Lolo. Tomber du haut d’un cocotier, ça, Keith Richards s’en est chargé ; pour le reste être Rock’n’roll aujourd’hui, c’est se sentir libre et aimer une musique jouée par des humains pour des humains… et bien sûr mille autres choses, le sujet est tellement vaste…
Vincent. C’est tout ça … C’est trouver important des choses qui ne le sont pas pour tout le monde. C’est bien sûr la musique, mais aussi faire passer la musique dans sa vie avant pas mal de trucs futiles. C’est un mode de vie, une façon de penser ou mieux une façon de ne pas penser 😉
Manou. Ouais et partir pour des concerts.
Un nouvel album donc, avec une pochette qui fait référence au Back in Black d’AC/DC sorti en 1980. Pourquoi ce choix ?
Manou. Pour le clin d’oeil à AC/DC, puisqu’on a décidé de mettre le volume des amplis à 11.
Vincent. Évidemment parce que c’est une de nos influences, c’est les booms quand on était gamins et pas encore musiciens. On faisait du Air Guitare avec les copains. Et puis la pochette est noire …
Lolo. Ça évoque un retour au travail, un nouveau projet après ce qui nous est arrivé. Comme Bon Scott en son temps, Twistos n’aurait pas voulu que la machine s’arrête, il a tellement contribué au succès et à la réussite du groupe et avait un tel plaisir à partager ce mode de vie avec ses copains qu’après son départ il aurait été plus difficile pour nous d’arrêter que de continuer. Cet album lui est dédié.
Twistos, si tu n’aimes pas cet album frappe un coup …… j’ai rien entendu , je pense qu’il l’aime
Twistos est bien sûr toujours dans vos / nos cœurs, dans vos / nos pensées. Pensez-vous qu’il aurait aimé cet album ?
Lolo. Twistos, si tu n’aimes pas cet album frappe un coup …… j’ai rien entendu , je pense qu’il l’aime 😉
Vincent. Certainement ! Le groupe tendait depuis quelques temps déjà vers une musique plus rock. Twistos a toujours été plus Pop, mais l’influence de Lolo le chatouillait depuis un moment 😉
Manou. Bien sûr, il est d’ailleurs présent (les chœurs de Lucille c’est lui) et deux titres ont été faits à partir de bouts de textes de lui.
On y parle de filles, notamment d’une certaine Lucille, mais encore ?
Vincent. On parle aussi de l’amour des filles, du respect, des crétins qui ne les respectent pas, des machos, des mythos et de rock bien sûr.
Manou. On y parle d’amour, de rencontres, de flirts, de nuits trop courtes, de mythomanes, de rock, de vieux beau, de guitare, de la dame qui dit non, de la petite chatte Sidonie, de DSK…
Lolo. Il y a Vanessa, Valérie, Coralie, Amélie, Sidonie plus un tas d’autres filles dont nous n’avions pas les prénoms, désolé, et bien sûr toujours des garçons qui les convoitent, les désirent, les inventent et les imaginent…
Comment s’est déroulée l’écriture de cet album ? Qui a signé les morceaux ? Comment s’est décidée cette option chant collectif beaucoup plus prononcé ?
Lolo. Il fallait tout d’abord respecter l’esprit d’Elmer et la mémoire de Twistos, il a d’ailleurs contribué à cet album grâce à des notes que nous avons pu récupérer grâce à ses enfants ; Kelu ( son frère d’arme à l’époque ) à co-écrit un morceau avec lui et nous a écrit « quand la dame » …. Cette notion de chant collectif est en réalité un retour aux sources d’Elmer, des doubles voix pour l’harmonie et des chœurs pour en remettre une couche ont toujours été la marque de fabrique du groupe…
Vincent. C’est Lolo qui a repris les commandes suite à la disparition de Twistos. Il avait déjà fait des titres sur l’album précédent. Il avait plein de choses dans ses tiroirs… Certains morceaux ont été bricolés par Kelu et Lolo à partir d’idées inachevées de Twistos.
Quelles ont pu être vos influences pour cet album ?
Lolo. Les influences très diverses vont des Ramones à Chuck Berry en passant par les Beatles, les Stones, les Beach Boys, AC/DC etc etc etc. Que des jeunes premiers ;-)… eux mêmes influencés par d’autres… c’est le serpent qui se mord la queue… Plus sérieusement, nous sommes bien évidemment influencés par un tas de choses mais c’est sans calcul que nous nous laissons porter par la musique d’Elmer …..
Vincent. Une vraie volonté de faire plus rock. Que ça ressemble plus à ce qu’on fait sur scène.
L’album sort le 19 avril. Et après ?
Manou. Et après c’est le 20…
Lolo. Nous serons sur les routes de France et de Navarre pendant les mois qui arrivent, le leitmotiv d’Elmer à toujours été « heureux sur scène », nous vous invitons donc à venir partager notre bonheur au détour d’un chemin de traverse… (tiens, ça me rappelle quelqu’un…)
Vincent. Y’a le 20 Avril, le 21 Avril, le 23, le 24, etc …Plus sérieusement, c’est tournée pendant au moins 2 ans peut être 3, selon la durée de vie de l’album. De belles dates : La Cigale Paris, peut être mieux encore en 2020. Certainement des voyages dans les Iles et beaucoup de soirées très chaudes partout en France . Venez nous voir, on boira un verre !!!