08 Fév

Faites chauffer les platines. L’album du vendredi : Not Easy To Cook de Cannibale

Mais qui sont ces gars-là ? Et d’où viennent-ils d’abord pour se faire appeler Cannibale et nous sortir un album aussi bariolé et baptisé Not Easy To Cook ? Faut-il avoir peur, se cacher derrière sa platine ? Réponse ici…

Pas de panique, Cannibale n’a pas encore mangé d’enfants. La première fois que j’ai entendu parler du groupe, c’était il y a une petite semaine à l’occasion de son passage en concert à Nantes, à la Maison de l’étudiant.

« Tu viens voir Cannibale ce soir ? », me lance une collègue. « Ca… quoi ? Cannibale ? Non, connaît pas… »

Évidemment, je n’y vais pas. Et puis je tombe sur l’album Not Easy To Cook chez mon disquaire préféré, l’écoute vite fait sur ma plateforme de streaming musical toute aussi préférée, et reste bouche bée. À l’heure de la normalisation rampante et du lissage général, Cannibale sait prendre des partis pris surprenants avec une musique rock garage tendance tropical, plutôt ensoleillée donc, en tout cas jamais glauque ou sanguinolente comme pourrait laisser entendre le nom de l’album associé au nom du groupe.

Bon, j’embarque l’album et l’écoute sur ma platine – toujours – préférée. Et franchement, là, je me dis qu’il y a de toute évidence du bon.

Mais les questions restent. Qui sont ces gars-là ? Et d’où viennent-ils d’abord?

De L’Aigle, oui, de L’Aigle, charmante commune de l’Orne, 8075 habitants, accessoirement commune de naissance de ma chérie (mais ça vous vous en moquez) et donc de ces cinq trublions, oui ils sont cinq, qui n’en sont pas à leur coup d’essai. Not Easy to Cook est leur deuxième album. On peut même dire qu’ils ont un peu de bouteille et beaucoup d’humour comme le montre ce clip…

C’est frais, c’est vert, bien relevé, signé chez Born Bad Records (JC Satan, Cheveu…), un bon petit plat en somme et une belle découverte, Cannibale vous attend maintenant pour sa release party à La Maroquinerie à Paris le 11 février… Sinon, tous les concerts du groupe sont ici, les news là.

Eric Guillaud

Not Easy To Cook. Cannibale (Born Bad Records)

07 Fév

Sorties de secours : The Psychotic Monks, Crocodiles et Mothers au programme du week-end

Du rock pyché un peu étrange, du folk rock expérimental et du garage pop shoegaze, c’est notre sélection serrée des concerts du week-end…

Crocodiles

Vous ne sentez pas comme un air de printemps ? Non ? C’est encore un peu tôt, je l’admets, mais L’Ère de rien, le festival qui ouvre la saison des concerts en plein air ou presque, pointe le bout de sa sono avec ce petit avant-goût en forme de party le 10 février au Lieu Unique à Nantes. Au programme, l’excellent groupe américain Mothers et l’annonce de la programmation 2019…
 
 Si l’Ère de rien a presque sorti les tongs, Les Z’eclectiques, de leurs côtés, nous rhabillent pour l’hiver avec une toute nouvelle collection, trois jours de concerts réunissant Theophile (le 6 février à Chemillé), The Slow Sliders, Cyril Cyril et The Psychotic Monks (le 7 février à Angers), Theophile et Ibeyi (le 8 février à Cholet)…
Avec un nom pareil, on aurait pu les imaginer venir de Floride ou de Louisiane mais non, les Crocodiles débarquent de San Diego avec dans leurs sacs de quoi nous jouer leur tout nouvel album Love is here. Le groupe sera au Fuzz’Yon à La Roche-sur-Yon le 9 février...
 C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.

Album, single, release party, clip… le duo nantais KO KO MO toujours à bloc !

C’est l’une des locomotives rock de la scène nantaise, le groupe qu’il faut avoir vu sur scène et entendu sur disque pour comprendre que, oui, le rock a encore de beaux jours devant lui. KO KO MO revient le 29 mars avec un nouvel album et dès maintenant avec un single et un clip à faire fondre l’univers. Branchez les guitares…

KO KO MO © Jean Marie JAGU

Après Technicolor, le tandem le plus ouf de la planète rock actuelle débarque avec un nouvel album baptisé Lemon Twins. Ce sera pour le 29 mars. Release party dans la foulée le 6 avril à Stereolux.

De quoi rendre dingues les plus impatients mais mais mais Supersonikk lève un peu le coin du voile avec une petite interview ici et maintenant à l’occasion de la sortie du premier single extrait de l’album, Self Love Age, et du très beau clip réalisé par Sébastien Marqué…

C’est le grand retour des KO KO MO ? Qu’est-ce que vous avez fait depuis deux ans ? Bronzage intensif au Canaries ou Trek en Birmanie ?

K20. Ce n’est pas un “Grand Retour”, mais simplement la sortie de notre deuxième album “Lemon Twins”, 2 années après notre 1er Technicolor Life et entre temps, pas de bronzage intensif ni de trek en Birmanie, mais plutôt en tournée en France et pas mal à l’international en 2017 / 2018.

Le nouvel album Lemon Twins est prêt à sortir. Des rumeurs persistantes parlent d’une compile de berceuses. Vous confirmez ?

K20. Oui, Lemon Twins est en cours de pressage pour le moment et bientôt prêt à sortir, ça ne sera malheureusement pas une compile de berceuses, mais bien évidemment la suite logique de KO KO MO, c’est à dire que l’on reste dans la même veine du premier opus en version plus brute, avec plus de partis pris et bien assumés. On vous laisse le découvrir…

Plus sérieusement, comment vous sentez-vous à la veille de sa sortie ? Satisfaits, libérés, reposés, inquiets ?

K20. Pour ne rien vous cacher, nous sommes évidemment reposés du fait qu’il soit terminé et fiers de ce 2e album, beaucoup plus de travail et de partis pris que le précédent. En sachant que pour Technicolor Life nous n’avions aucun recul puisque c’était notre 1er album.

Après plus de 200 dates, beaucoup des voyages, de rencontres et de créations sur les routes, bien sûr que nous sommes non pas inquiets, mais un peu stressés de ce sortie d’album. Pour nous c’est le 2e, mais pour beaucoup de personnes, c’est le premier…

Mais tellement hâte qu’il soit dans vos oreilles 😘

Le premier single s’appelle Self Love Age. Qu’est-ce que ça raconte ?

K20. C’est l’histoire d’une rencontre qui bouleverse une vie. Au point de remettre en jeu ces priorités de la vie et de lâcher un peu les artifices de nos petites boites électriques… « Nos insupportables » comme on aime bien les appeler… Et leur pouvoir auto-centriste qu’on connait bien sur la société. C’est une sorte de renaissance.

Qui dit sortie d’album dit release party. Ce sera à Stereolux le 6 avril. Grosse fête en perspective ?

K20. Et bien oui, venez donc toutes et tous avec tout le monde le 6 Avril prochain, pour cette soirée sortie d’album dans la salle Maxi de Stereolux.

Grosse fête sûrement mais surtout gros kiffe en famille 🔥❤.Tellement contents de le partager sur scène à la maison. Rendez-Vous le Samedi 6 Avril 2019 avec quelques surprises.

Merci K20, merci Warren. Propos recueillis par Eric Guillaud le 6 février 2019 (sortie officielle du single le 8 février)

Plus d’infos sur KO KO MO ici

05 Fév

Coocoo Bird : le tandem Héron & Duval à la conquête de l’Ouest avec un premier clip

Drôle d’oiseau que ce duo. Héron & Duval, s’est posé sur les rives de la Loire, du côté d’Oudon, où il cultive la différence avec un univers fleurant bon l’ambiance de saloon…

À ma droite Gaston Patapon, dit le Héron, à ma gauche, Corto Duval dit l’Audacieux, deux musiciens et comédiens lancés dans une belle chevauchée créatrice autour d’un projet baptisé Héron & Duval, lancé il y a six mois du côté d’Oudon, et d’un spectacle basé sur le folklore américain de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

Coocoo Bird est le nom de son premier clip réalisé par Aurélie Piel et Nicolas Lamour, un clip tourné au domaine de la Pilardière à Oudon. Gaëtan Durandière, alias Corto Duval et Nathan Dallérac, alias Gaston Patapon, nous le présentent en quelques mots…

« L’idée du clip m’est venu un soir en revoyant le film Gang of New York. J’en ai parlé dès le lendemain à mon collègue Nathan qui était emballé par l’idée. On a discuté de ce projet avec Bérangère Barathon et on est allé au domaine de la Pilardière à Oudon à quelques kilomètres de chez moi. On s’est assez vite projeté et entendu sur l’ambiance, l’univers, que l’on souhaitait créer. Il nous restait à trouver le financement ».

« On a lancé une campagne de financement participatif sur 40 jours. En 3 jours on avait le budget ! Ensuite on a contacté des professionnels pour la captation, et nos potes pour avoir de l’aide. Certains sont figurants, d’autres nous ont aidé pour le Jour J : (cuisine pour les 30 personnes, entretien du feux, réparation des pannes électriques…). En amont, nous avons travaillé la scénographie. On avait des idées bien précises (roulotte, chevaux, mobiliers…) ».

« L’énergie de la préparation, des donateurs, des participants le jour J était belle. On a terminé par une grosse fête, le soir même, dans une ferme à côté de chez nous. Maintenant cet outil va nous permettre de présenter notre projet musical qui débute tout juste. On commence les concerts dans un mois. On a hâte ».

Eric Guillaud

Plus d’infos sur Héron & Duval ici

Le groupe sera en concert au Café du Havre à Oudon le 19 avril 2019, au Rouge mécanique à Nantes le 11 mai 2019, au Jean Geste Café à Gesté le 18 mai 2019

01 Fév

CLIP. Ultra Vomit en mode anime pour chanter les louanges du Takoyaki

C’est à chaque fois une surprise totale, un délire général, une folie dégénérative et communicative, du grand n’importe quoi mais du résolument génial, les Nantais d’Ultra Vomit sont de retour avec un clip complètement foldingue…

© Charlotte Gonzalez

À l’heure où l’on vante l’économie de proximité, les bienfaits des circuits courts, les bons légumes de saison, on aurait pu espérer que les Nantais Ultra Vomit signent une chanson sur la mâche, les rigolettes, le muscadet ou encore le curé nantais, de bons produits du terroir en somme, mais non, les quatre musiciens ont décidé de vendre leur âme au pays du soleil levant en nous chantant les louanges du Toyaki, toyoka, takoyo… pardon… Takoyaki, le tout façon anime japonais. Grandiose !

Eric Guillaud

Faites chauffer les platines. L’album du vendredi : l’indispensable Fever de Balthazar

Chez les Balthazar Monsieur, on sait rester élégant en toutes circonstances même quand on met des hyènes ou assimilées sur la pochette de son dernier album et qu’on le baptise Fever. Depuis Applause, son premier album, le groupe belge a su garder le cap d’un rock « too much class for the neighbourhood » comme auraient dit les Dogs. Montez le son…

Jinte Deprez et Maarten Devoldere © Athos Burez

Et c’est vrai qu’ils ont la classe nos rockeurs belges préférés, la classe belge peut-être, de cette classe qui a permis à Deus, Ghinzu, Girls in Hawaii ou encore et bien sûr Arno de venir grattouiller et pousser la chansonnette sur nos terres rock avec succès.

Balthazar, c’est d’abord une basse qui tacle en douceur, un son énorme mais avec finesse, délicatesse, classe. On y revient. Et puis c’est le chant bien sûr avec la voix sensuelle, chaude, de Maarten Devoldere, une voix qui glisse sur la batterie, le clavier, les guitares, le violon et vous emmène loin, très loin, un subtil mélange de Leonard Cohen et de Tom Waits, disent les spécialistes, une voix bien à lui surtout, reconnaissable entre toutes. C’est avec Rats, le deuxième album, que Balthazar décolle. Avec le troisième, Thin Wall, il reste en lévitation…

Et puis… et puis le groupe se met en sommeil ou en pause comme on veut. La violoniste quitte le navire. Chacun vaque à ses occupations, Jinte Deprez avec son projet J.Bernardt, Maarten Devoldere avec Warhaus. C’est beau, ça ressemble à du Balthazar mais ce n’est pas du Balthazar.

Est-ce la fin de l’aventure ? Trois albums et puis s’en va ? Le monde a tremblé mais…

« Ça a toujours été l’objectif de se regrouper pour faire un autre album. On a fait nos projets solos pour sortir d’une routine qui devenait dangereuse pour notre cohésion. Il y avait clairement un danger de devenir trop prévisibles vis-à-vis de nous-mêmes », déclare Jinte Deprez à Culturebox.  

Et finalement les revoili les revoilà avec Fever, 11 titres d’une énergie folle, à tomber par terre et se rouler sur la moquette, du Balthazar aux accents funk qui dit merde à la morosité, ne demande qu’à vous faire danser. On dit Fever inspiré par les expériences solo des deux membres historiques, c’est surtout la suite logique d’une belle aventure musicale avec des titres qui mettront d’accord les fans de la première heure rassurés par des titres comme Fever, et tous les petits nouveaux forcément conquis par Wrong vibration. La preuve, certaines dates de leur tournée européenne affichent d’ores et déjà complet. Rendez-vous à Lille le 24 mars, Paris le 25 mars, Montpellier le 29 mars, Mérignac le 2 avril, Nantes le 3 avril… La classe !

Eric Guillaud

Balthazar, Fever (Pias).

31 Jan

Sorties de secours : Synapson, Mermonte et Yeggmen au programme

De l’électro-pop aux couleurs de la soul et du jazz, de la pop orchestrale et du rock électro, c’est notre sélection serrée, serrée et nanto-nantaise cette semaine, des concerts du week-end…

Yeggmen le 31 au Ferrailleur © Pauline Tezier

Il a explosé les compteurs de YouTube en 2015 avec All in You feat, plus de 15 millions de vues à ce jour, rempli les salles lors de sa précédente tournée et reçu un disque d’or pour son album Concergence, le duo Synapson reprend la route avec son nouvel opus Super 8. Il sera le 31 janvier à Stereolux à Nantes…

Il vient de Rennes et fait dans la pop orchestrale, le groupe Mermonte débarque à la Barakason à Rezé le 31 janvier avec son nouvel album Mouvement, 12 titres aux mélodies et aux arrangements finement ciselés, de vrais bijoux pop élaborés par une bande, ils sont neuf, de musiciens hors pair . En première partie , le Nantais Fairy Tales In Yoghourt…

On termine avec le groupe nantais Yeggmen qui vient de sortir son premier album baptisé Together in the Fulness of a solar System et célébrant l’union du rock, de la pop et de l’électro? Nous les avions rencontrés il y a quelques jours le temps d’une interview et d’une session live pour Supersonikk. Il jouera le 31 janvier au Ferrailleur à Nantes…

C’est tout pour aujourd’hui, rendez-vous la semaine prochaine si tout va bien.

Un premier clip pour le groupe nantais The SoulPhoenixs

Il y a de la soul dans l’air. Et pas qu’un peu. Après un EP en 2018, The SoulPhoenixs nous présente son premier clip tourné sous le soleil charentais. De quoi nous faire ressortir les tongs à paillettes pour le week-end…

The SoulPhoenixs

Créé il y a maintenant 3 ans avec la ferme intention de nous faire bouger le popotin, The SoulPhoenixs a connu une belle année 2018 avec la sortie d’un premier EP, une vingtaine de concerts et plusieurs participations à des tremplins, parmi lesquels l’Artist of the Year, organisé par la plateforme de programmation de concerts Gigstarter à Amsterdam, où il a obtenu le prix du public. Il commence 2019 de la même manière avec son premier clip, Phoenix’ Danse. Damien, l’un des sept musiciens des SoulPhoenixs, pose sa trompette le temps de nous le présenter…

« Nous avons tourné notre clip au mois de septembre 2018, dans le cadre magnifique du château de Montendre (17), qui nous a été chaleureusement mis à disposition par la Ville. Nous avons travaillé avec l’association Music de l’ère pour la captation et le montage, et le Studio MKD Record pour l’enregistrement et le mixage de notre morceau Phoenix’s Dance. Nous avons choisi ce dernier afin de mettre en valeur l’aspect festif et fun qui en émane. Ce morceau parle d’échappatoire, du fait de ne pas rester dans l’échec, de poursuivre ses envies, de lâcher prise et se sentir libre ».

Eric Guillaud

Plus d’infos sur le groupe ici

Pour découvrir The SoulPhoenixs en live, direction la finale du tremplin Festival la 7ème Vague (85) le 25/02, la finale du tremplin Festival Mégascène (44) le 9/03, le bar Le Melocotton (44)…

29 Jan

La Nuit de l’Erdre 2019 : sept nouveaux noms dévoilés

L’affiche de la 21e édition de La Nuit de l’Erdre, qui se jouera du 28 au 30 juin, s’étoffe en ce début d’année avec sept nouveaux noms dévoilés et toujours un savant mélange des genres, du rap au rock en passant par la chanson française ou le métal…

© MaxPPP – Daniel Reinhardt

Dans une première salve en décembre, comme un cadeau de Noël avant l’heure, les organisateurs de La Nuit de L’Erdre avaient annoncé la venue de Roméo Elvis, Soprano, Hubert-Félix Thiéfaine, Boulevard des Airs, Gaétan Roussel, Dub Inc, KO KO MO, INÜIT et Electric Sin.

Sept nouveaux noms viennent compléter l’affiche aujourd’hui, une légende de la pop pour commencer, Roger Hodgson, chanteur et leader de Supertramp, mais aussi Disclosure, Clara Luciani, Bigflo & Oli, Bon Entendeur, Train To Roots et Minuit

Eric Guillaud

Plus d’infos sur le festival et billetterie ici

Le groupe vendéen Epsylon s’offre un clip avec la chanteuse Melissmell

En 2018, le groupe vendéen Epsylon fêtait ses dix ans d’existence autour d’un album live. Il est de retour avec un nouvel album qui sortira en mars et d’ores et déjà avec un nouveau single, C’est plus le paradis, clipé par Guillaume Massif avec la participation de la chanteuse Melissmell…

Epsylon © Jean Marie Jagu

Nous les avions interviewés Il y a tout juste un an à l’occasion de la sortie de leur album live, nous les retrouvons aujourd’hui à la veille de la sortie d’un nouvel album studio le 8 mars baptisé Astronaute, Epsylon nous raconte tout, à commencer par cette collaboration avec la chanteuse Melissmell…

« Damien Bolo (Spectrum Studio), le réalisateur de notre nouvel album Astronaute nous a conseillé, à l’écoute du morceau, de faire un featuring avec une voix féminine. C’est plus le paradis est une chanson autour de la complexité des histoires d’amour et une question / réponse entre la voix de notre chanteur et une voix féminine a permis de donner du relief aux propos ».

« Nous sommes très fans du travail de Melissmell et nous lui avons proposé de collaborer avec nous sur ce morceau, elle a tout de suite été emballée ! Nous nous sommes rencontrés dans un premier temps a Nantes pour faire connaissance et discuter du morceau. Elle nous a rejoint quelques mois après au studio Bonsison (Puceul) pour les prises voix, nous sommes très fiers du résultat ».

« Pour le clip, nous avons choisi de travailler avec Guillaume Massif qui a réalisé plusieurs clips (Von Pariahs etc..). Son idée était de faire un parallèle entre la vie de couple et un combat de boxe, alternant moments d’observation, d’amour, de passion, de doute, puis finalement de déchirure, donnant lieu à un véritable combat de boxe où tous les coups sont permis ».

« Les acteurs Elsa Ferreux et Quentin Poulailleau ont sublimé le travail de Guillaume qui était assisté du chanteur du groupe pour la réalisation, de Louis Boureau (Chef opérateur), Elie Bossis (lumière). Pour pousser le réalisme, nous nous sommes faits assister d’un champion de boxe thaï Eric Roussey qui a dirigé les acteurs, notamment pour les scènes d’entraînements et de combats ».

Eric Guillaud

Release party le 2 mars en Vendée (complet), release party le 5 avril à la Distillery à Carquefou. Plus d’infos sur Epsylon ici.