Au Cabaret Sauvage, Mozart, un quatuor à cordes, un zarb, un accordéon... et un public qui danse.
C'est ce lieu-là, mais ce n'est pas encore la nuit noire, c'est la lumière douce d'une soirée de juin. Sur l'avenue Jean-Jaurès, on a demandé le chemin du Cabaret Sauvage au kiosque d'information. "Ah! c'est pas là" On nous a indiqué une allée forestière, on avait l'impression d'être dans une...