C’est une balade au coeur de la ville, en mouvement, en faisant mon chemin avec des sportifs, des commerçants, des artistes ou un groupe d’amis que j’ai choisi de découvrir la ville bisontine, cette fois-ci.
J’ai tout d’abord donné rendez-vous au soleil, qui a chaleureusement accepté mon invitation et m’accompagne avec toute sa puissance durant mon périple ! Ca nous réchauffe le coeur !
J’ai oublié ma casquette mais Aurèle s’est montrée prêteuse et dans sa boutique Skate’n’roll où je commençais à défricher le paysage des cultures urbaines, elle me dirigeait aussi vers le meilleur des choix pour débuter la pratique du skateboard avec, en bonus, un cours exprès sur les quai Veil Picard. Très très sympa ! Merci Aurèle !
PS : vous verrez dans sa boutique il y a aussi des vêtements et des petits gadgets comme … de la colle Cléopatra, vous vous souvenez de cette odeur d’enfance qui sent la pâte d’amande ? 🙂
Une fois le skate un peu mieux en mains, ou plutôt, en jambes, je rejoignais un collectif d’amateurs.
Après la pause déjeuner, toutefois !
Direction donc sur le quais des arts, où des sportifs de tous âges m’attendaient… Ils font tous parti de l‘association Sirocco !
Thomas, le réalisateur et Pierre l’ingénieur du son se préparent à tourner …
Hervé (à la lumière) et le caméraman Laurent ne sont pas loin…
C’est parti !
Chloé Cura est à la communication du festival Bien Urbain au coeur de la ville de Besançon
Le but, mettre en valeur le patrimoine avec des oeuvres de street art, peintures murales, graffiti, tag… des artistes internationaux peuvent s’expriment ainsi sur les murs bisontins comme l’italien Ericailcane, qui a peint la fresque murale « mouton noir mouton blanc »
Comme Jean de la Fontaine, il personnifie les animaux et je vous assure qu’on peut passer beaucoup de temps à discuter de son intention en regardant sa peinture !
Ce matin là c’est Chloé ma guide et nous sommes à vélo, un joli moyen de locomotion pour découvrir les oeuvres disséminées partout en ville ! Un régal
Le MAUSA est le musée des arts urbains et du street art.
Stanislas Belhomme, ancien agent d’artistes de street art évidemment fondu d’arts réalise là un double pari.
Celui d’installer un musée de street art à la campagne puisque Toulouse-le-Château compte tout juste 400 habitants et à ciel ouvert, bien loin de la ville.
Malgré tout, le public est varié, venant tantôt de loin spécialement pour découvrir les collections inédites des artistes exposées au MAUSA, tantôt des environs comme les scolaires qui découvre l’art à travers leur patrimoine.
Car il faut savoir que le lieu, magique, n’est autre qu’une ancienne forge aménagée et utilisée (extérieur et intérieur) pour y créer une espace expression varié à travers les oeuvres.
Les projets ne manquent pas au noyau dur dont Clémentine, et je m’associe à eux et à cette jolie entreprise audacieuse et surprenante. A bien vite tous !
Egalement avec les cours de danse Art Kdanse, Riveh le boss, Marion et tous les super danseurs
Et l’association géniale des traceurs bisontins qui font du Parkour : art de se mouvoir comme un chat sur le mobilier urbain (y compris les immeubles)
BREF, UN BEAU TRAVAIL D EQUIPE !!!! MERCI à TOUS ET à TOUTES ET A MA GENIALE EQUIPE DONT THOMAS !!!!