« Hey, t’as pas 5 minutes pour que je te lèche le cul ? »
Cette apostrophe pleine de délicatesse est tirée du blog Paye ta shnek qui recense quelques « tentatives de séduction en milieu urbain » vécues par des femmes (ici à Lormont, dans un supermarché).
Ces derniers temps, les créations et initiatives comme Paye ta shnek ont été nombreuses pour dénoncer ce type d’agressions. Exemples :
- Le film documentaire Femme de la rue réalisé par Sofie Peeters.
- Projet crocodiles, témoignages de femmes mises en bandes dessinées par Thomas Mathieu.
- Dans un style différent, le court métrage Majorité opprimée d’Eléonore Pourriat qui connaît aujourd’hui un succès certain depuis sa production en 2010.
- Le site web « Je connais un violeur » qui permet aux victimes de témoigner de manière anonyme.
- Et enfin, beaucoup plus universel, ce très beau film plaidoyer pour la liberté des femmes du monde entier :
Film by Bruno KillyourMind