de Paris 
Reconnaissable par sa longue crête de plumes ébouriffées et son plumage noir aux reflets bleutés, le grand hocco (Crax rubra) doit son nom à sa taille imposante. Plus à l'aise sur terre que dans les airs, il se pavane dans sa volière extérieure de la biozone Guyane-Amazonie.
Tête carrée, corps allongé, petites oreilles et courtes pattes, le chien des buisson (Speothos venaticus) vit en meute d'une dizaine d'individus. Méconnu et très peu représenté en captivité, cet animal trapu de la famille des Canidés évolue au Parc zoologique de Paris dans la biozone Guyane-Amazonie.
Arrivées il y a trois semaines depuis le zoo de Cracovie en Pologne, deux petites femelles jaguars (Panthera onca) partagent désormais l'enclos d'Aramis, le mâle jaguar noir. Dans quelques temps, elles lui seront présentées pour qu'un couple puisse se former.
D'un tempérament calme et sensible, Tabitha la femelle Grand Tamanoir (Myrmecophaga tridactyla) est arrivée au Parc zoologique de Paris depuis Singapour il y a plus d'un an. Elle évolue actuellement dans la Grande Serre tropicale au coté de Liano, le mâle et fait partie des animaux à parrainer de la biozone guyanaise.
Pour les trois capucins bruns (Cepus apella) dont le groupe a été formé à la Ménagerie du Jardin des Plantes, c'est l'heure de rejoindre le Parc zoologique de Paris, après un petit passage en clinique.
Les caïmans nains de Cuvier viennent d'arriver au Parc zoologique de Paris. Le couple en provenance du Danemark est désormais visible dans leur terrarium de la serre tropicale.
10 jours et 10 nuits passés au milieu du marais de Kaw en Guyane pour étudier le caïman noir (Malanosuchus niger), son écosystème et son régime alimentaire. C’est le projet de recherche auquel a participé Olivier Marquis, curateur des reptiles, amphibiens et invertébrés du Parc zoologique de Paris.
Evoluant actuellement aux côtés du lamantin, l'arapaïma (Arapaima gigas) compte parmi les plus grands poissons d'eau douce. Il fait partie des animaux à parrainer de la biozone Guyane-Amazonie.
Au Parc zoologique de Paris, les possibilités d’interactions entre les animaux et leurs environnements sont privilégiés pour préserver leurs instincts naturels. Plus l’espèce est évoluée et plus ces possibilités d’enrichissements sont vastes. Exemple avec les aras hyacinthe (Anodorhynchus hyacinthinus).
C'est l'heure du repas pour Tabitha et Liano, les deux grands tamanoirs (Myrmecophaga tridactyla) ! Au menu : pas encore de fourmis mais une sympathique bouillie composée d'oeufs et de poudre protéinée.
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