Clov à gauche (Leigh Melrose), Hamm en fauteuil (Frode Olsen) C) sébastien Mathé, OnP

A l'Opéra-Garnier "Fin de partie", l'opéra de György Kurtag, est fidèle à l'esprit de Samuel Beckett

Deuxième création de la saison à l'Opéra de Paris (après A quiet Place de Leonard Bernstein, chronique du 14 mars 2022), Fin de partie de György Kurtag est l'unique opéra (à ce jour! ) d'un presque centenaire. Il est présenté dans une belle mise en scène de Pierre Adui avec quatre chanteurs remarquables....

Autour de Dinah (J. Wokalek) en rouge, Junior (G. Bintner), Dede (C. Boyle), François (F. Antoun) et Sam (R. Braun) C) Bernd Uhlig, OnP

A l'Opéra-Garnier Warlikowski monte avec réussite "A quiet place" de Leonard Bernstein, théâtre familial en forme d'opéra

C'est une création de l'Opéra de Paris et c'est aussi une découverte pour nous: l'ultime opéra de Leonard Bernstein, qui en a écrit cependant trois, pas très souvent montés, le plus connu étant Candide. A quiet place, opéra inabouti de l'aveu même de son auteur mais très intéressant tout de...

Philippe Jordan. Nous présentant "son" orchestre C) Elisa Haberer/OnP

Les adieux émouvants de Philippe Jordan à "son" public et "son" orchestre de l'Opéra de Paris, autour de Liszt et de son cher Wagner.

Salle pleine. Celle de l'Opéra-Bastille. Non, non, plus de jauge, qu'on se le dise, mais QR Code ou test obligatoires: les adieux d'un Philippe Jordan, le directeur musical de l'Opéra de Paris, justifiaient un tel nombre de spectateurs et qu'ils fissent le sacrifice demandé. La soirée n'en aura été que...

Max Emanuel Cencic (L'Ange-Gardien) et Eve-Maud Hubeaux (Dona Prouhèze) C) Elisa Haberer- Opera national de Paris

"Le soulier de satin" de Marc-André Dalbavie d'après Claudel rouvre avec éclat l'Opéra-Garnier

Une création mondiale pour la réouverture de l'Opéra de Paris -côté Garnier: Le soulier de satin, musique de Marc-André Dalbavie, adapté de l'oeuvre-monstre de Paul Claudel, mise en scène de Stanislas Nordey, six heures de spectacle. On s'incline. Même si, dans ce travail impressionnant, tout n'est pas parfait. Et l'on a...

La confrontation du métro: Ermonela Jaho (Marguerite) C) Monika Rittershaus

Un nouveau "Faust" de Gounod à l'Opéra de Paris, plus proche de Goethe et du mythe de l'éternelle jeunesse

C'est un jeune metteur en scène allemand, Tobias Kratzer, qui fait ses débuts à l'Opéra de Paris dans le Faust du Français Gounod. Un travail enregistré il y a quelques jours, qui n'est pas sans défaut mais avec beaucoup d'idées passionnantes et une réalisation musicale de haute qualité. En diffusion vendredi soir...