Les adieux émouvants de Philippe Jordan à "son" public et "son" orchestre de l'Opéra de Paris, autour de Liszt et de son cher Wagner.
Salle pleine. Celle de l'Opéra-Bastille. Non, non, plus de jauge, qu'on se le dise, mais QR Code ou test obligatoires: les adieux d'un Philippe Jordan, le directeur musical de l'Opéra de Paris, justifiaient un tel nombre de spectateurs et qu'ils fissent le sacrifice demandé. La soirée n'en aura été que...