Hymne à la joie

Journée de recueillement.

Quelles musiques? Des Requiem? Des déplorations, si "raccord" avec le ciel lugubre de ce dimanche?

Sûrement pas, ou pas seulement. C'était l'évidence même, pour les disparus, que "Paris est une fête". Alors, en leur mémoire, sabrons le champagne en écoutant Offenbach, "Ba-ta-clan" ou, simplement, "La vie parisienne", "Oui, voilà la vie parisienne, du plaisir à perte d'haleine, oui, voilà la vie parisienne, voilà, voilà, voilà, le bonheur est là"

Ou, plus encore, puisque la barbarie prétend punir aussi l'Europe, cet hymne européen, d'une Europe un peu en berne ces temps-ci, cet hymne qui, lui, est désormais immortel, l' "Hymne à la joie" du grand Beethoven.

Ce blog a un an.

Affiche de Jules Cheret (1836-1932) ©Photo Josse/Leemage

Affiche de Jules Cheret (1836-1932) ©Photo Josse/Leemage