"Brouillards sur la planète médias"
Avec le renversement de la dictature Ben Ali, le 14 janvier 2011, les journalistes tunisiens sont devenus «enfin libres», après «55 ans de propagande». Mais depuis, la situation a évolué. Avec l'arrivée au pouvoir d'un nouveau gouvernement conduit par le parti islamiste Ennahda à la suite des élections d'octobre, on voit se lever aujourd'hui des «brouillards sur la planète médias», pour citer un remarquable hors-série de La Presse, premier (et excellent) quotidien francophone de Tunisie.