Cela fait une semaine que Donald J. Trump est président, et contrairement à ce que l'opinion publique pensait: oui, il est réellement en train de mettre en place ses promesses de campagne.
Trump signe un nouveau décret presque toute les heures, prenant des décisions ayant un effet immédiat sur le pays.
Un décret est ce que les Américains appellent "executive order". Il fait partie de l'article II de la Constitution Américaine donnant au président le pouvoir exécutif. Ce pourvoir est maintenant entre les mains Donald J. Trump, il peut donc prendre des decisions rapidement et sans avoir besoin detre approuvé par le congres. Par exemple, un 'executive order' peut être signé pour envoyer des soldats à la guerre puisque le president est également le commandant en chef des armees.
Voici notre récapitulatif des décisions les plus importantes que le nouveau président élu a pris cette semaine.
La construction du mur entre les Etats-Unis et le Mexique
C'est l'une de ses plus grandes promesses de campagne, contrustruire un mur séparant totalement les deux pays. Cela pourrait débuter tres rapidement, dès que le congres qpprouve le budget. selon Le president cela couterai 20 milliards de dollars.
Paul Ryan, membre du parti républicain et president de la Chambre des representants a expliqué en début de semaine que le congres financerait cette construsttion au maximum de 14 milliards de dollars. Plus de 5000 agents de patrouille à la frontire devront etre embauché, un coût qui n'est pas prévu par YTrump ou le Congres.
Donald J. Trump veut que le Mexique paye pour ce mur, ce que le president mexicqn, Enrique Peña Nieto refuse. Il a d'ailleurs annoncé jeudi 26 janvier qu'il avait annulé son voyage officiel aux États-Unis et s'attendait à recevoir plus de "respect" de la part du president Américain. Il devait rencontrer Trump mardi 31 janvier, Les deux parties se retrouvent en total désaccord quant à la construction du mur entre les deux pays.
Le président Mexicain a expliqué à maintes reprises que le Mexique ne payerait pas pour ce mur, ce que Trump refuse d'accepter.
L'expulsion d'immigrants illégaux et la fin des villes sanctuaires.
Les "sanctuary cities" reprsentent un ensemble de villes aux Etats-Unis qui protegent des immigrants sans papiers. Les Etats ont des droits féréraux qui les autorisent à prendre ce genre de decisionq sans avoir besoin detre approuvé par le president ou le congres.
Plus d'une trentaines de villes sont considérées comme des villes sanctuaires, dont New York City, Washington DC, Los Angeles, Chicago, Détroit, Miami etc. (Voir liste complete des villes sanctuaires). Donald J. Trump a pris la décision d'annuler toute subvention fédérqle pour ces villes sanctuaires. En soi, il ne veut plus que les sans papiers vivant dans ces villes soient protegé d'une eventuelle expulsion.
Ce décret demande egalement aux agences fédérales de commencer l'expulsion des sans papiers, en commencant par ceux etant reconnu coupable ou accusé d'un crime, ayant commi une infraction ou ayant abusé d'un programme d'aide sociale. Pour cela, il faudra employer 10 000 nouveaux agents du bureau des douanes et de l'immigradtion. Des embauches qui n'ont pas été prévues dans le budguet innitial.
Révisier la reglementation des industries
Donald J. Trump a écrit un memorandum - différent du décret (note officielle) - à Wilbur Ross, le Secretaire Américain au commerce lui ordonnant de commencer une révision de la reglementations pour les industriels Américains dans le but de leur faciliter et d'accelerer les processus federaux reglementqires, c'est à dire: leur permetttre de fazire plus dargent, plus rapidement, et avec moins de supervision.
Les Pipelines
Trump a signé mardi 24 janvier un décret pour relancer les projets d'oléducs (également dit pipelines) Keystone XL et Dakota Access dont les constructions avaient été gelées osus l'administration d'Obama. Le nouvequ président-élu a également choisi Scott Pruitt, un climato-sceptique, pour être à la tête de l'Agence de Protection Gouvernementale.
Le droit à l'avortement
Le Président Trump à signé un décret interdisant toute assistance fédérale pour financer les aides à l'avortement à l'international (United Nations). Donald Trump avait promis dans son programme qu'il interdirait l'avortement dans les 100 premiers jours de son mandat. Un premier pas vers l'interdiction de l'avortement dans le pays.
Il avait d'abord expliqué en mars 2016 que les femmes qui y auraient recours recevraient une "forme de punition", avant de revenir sur ses mots et d'expliquer que les médecins effectuant une I.V.G. seraient sanctionnés.
Le Vice-président pqrticipe en ce moment meme à la manifestation pro-life "March for life" à Washington.
Alors que cette manifestation fait penser à la "Women's March" de samedi 21 janvier, cela n'a rien à voir.
Cette marche dans les rues de la capitale existe depuis 44 ans, à la date de la décision de la Cour Suprême de légaliser l'avortement (1973).
La fin des embauches dans les agences fédérales
Donald J. Trump a donné l'ordre de geler les embauches du personnel dans les agences federales pour les postes qui sont en ce moment vacants. Cette decision n'inclut pas le personnel militaire.
Les Etats-unis quittent l'Accord de Partenariat Transatlantique
Le "Trans-Pacific Partnership Agreement ", également connu son le nom de TPP aux etats-Unis est un traité de libre-échange entre les régions de l'Asie, des Amériaues et du Pacifique. Lundi 23 janvier, Trump s'est désengagé de ce traité, signé il y a moins d'un an par l'ancien Président Barack Obama.