VIDEO révolutionnaire : les premières Google glass pilotées par la pensée !

Une start up anglaise vient d'annoncer la première application qui permet de commander des lunettes "Google Glass" par la simple force de la pensée. Elle permet de prendre des photos, juste en y pensant. Elle devrait notamment améliorer le quotidien des personnes atteintes de maladies qui amenuisent ou anéantissent leur faculté de mouvement.

Découvrez comment fonctionne ce bijou de technologie qui trouverait largement sa place dans l'univers de Marvel :

Jusqu'alors, le pouvoir de contrôler des actions par la pensée était laissé aux superhéros. Grâce à son casque et à son armure ultra-technologiques, Iron Man peut - par la seule force de son esprit - réaliser toutes sortes de prouesses. Sans parler de RoboCop, qui contrôle une panoplie de fonctions futuristes... sans les mains.

iran man

Le lecteur mental MindRDR rappelle l'univers d'Iron Man.

Mais, avec une nouvelle application qui semble révolutionnaire, la réalité rejoint la science-fiction : MindRDR est la première application télékinétique qui permet de prendre des photos et de les partager sur Twitter ou sur Facebook... en pensant seulement à la réalisation de ces actions.

Cette avancée technologique pourrait notamment être utilisée par les personnes atteintes du syndrome d'enfermement, de sclérose ou de quadriplégie (paralysie des quatre membres) ou toute autre pathologie qui empêche tout mouvement. L'application MindRDR devrait leur permettre d’interagir avec le monde par le biais des lunettes Google, sans avoir à les toucher ou à parler, comme cela était le cas jusqu'à aujourd'hui. Et ce n'est qu'un début, le but étant, à terme, de permettre des actions bien plus importantes et plus diversifiées que celle de prendre des photos.

L'application a été développée à Londres, au sein de l'entreprise This Place, et a nécessité plus de 1000 heures de travail. On peut donc contrôler ses Google Glass avec son esprit.... mais combien de temps avant que le contraire soit vrai ?

Céline Schoen avec Loïc de La Mornais