Ils viennent tout juste d'arriver en France, mais sont présents en Belgique depuis le mois d'octobre. Fabrice Bureau, vice-recteur à la recherche de l'université de Liège, qui a développé ces tests salivaires vante le principal avantage lié à celle-ci : la rapidité. Pour recevoir les résultats du test, il ne faut que quelques heures. Des délais courts qui permettent de casser les chaînes de contamination beaucoup plus vite.
Efficacité à grande échelle ?
À l'œuvre dans les maisons de retraite depuis 4 mois, ces tests nouvelle génération vont s'étendre à quelque 2 500 enseignants du pays. En France, le ministre de la Santé Olivier Véran souhaite qu'entre 200 000 et 300 000 tests soient réalisés chaque semaine à compter de la mi-février.