Pour éviter un "no deal" le 31 octobre, Boris Johnson a décroché la semaine dernière à Bruxelles un nouvel accord de divorce avec l'Union européenne lors de sa rencontre avec les 27 autres chefs d’état européens.
Arraché in extremis à l'issue de négociations laborieuses, ce nouvel accord est censé régler les conditions du divorce après 46 ans de vie commune, permettant une sortie en douceur assortie d'une période de transition courant au moins jusqu’à fin 2020. La problématique de la frontière irlandaise, qui était l’un des points principaux de blocage des négociations, a été réglé. Mais que contient vraiment cet accord ?
Mais le Premier ministre britannique n'est pas parvenu à obtenir le soutien nécessaire de Westminster pour valider cet accord. Comme l’y a obligé le Parlement, Boris Johnson a donc été contraint de demander un report de la date du Brexit, pour l'heure prévue le 31 octobre prochain.