Visiblement les avions EasyJet regorgent d’exotisme et d’animaux en tout genre. Hier lundi 4 septembre, c’est un scorpion qui a été repéré à bord du vol Paris-Glasgow.
Un passager a alerté l’équipage après avoir remarqué le scorpion sur le vol EZY6883 de Glasgow à Paris. Peu de temps avant le décollage l’arachnide se promenait au beau milieu de la cabine.
Après évacuation des voyageurs et du personnel l'avion a été passé au peigne fin avant d’être traité pour éviter tout problème. L’opération ayant duré toute la nuit la compagnie a offert une nuit à l’hôtel aux passagers qui décolleront mardi depuis l’aéroport Charles de Gaulle.
"La sécurité et le confort de nos passagers et de notre équipage est toujours notre priorité absolue, donc, par précaution, l'avion sera fumigé avant son prochain vol » a expliqué le porte-parole de la compagnie aérienne.
Les passagers quant à eux ont reçu ce message sur l'application EasyJet: «Nous espérions pouvoir continuer votre vol aujourd'hui mais nous avons été informés qu'un scorpion a été vu à bord de votre avion ».
Comme le témoigne ce tweet d’un passager:
Les réactions ont été mitigées..
« Quel vol c’était! Oubliez Serpents dans l’avion, c’était Scorpion dans avion! ?✈️? @easyJet » tweete un passager visiblement amusé par la situation en faisant référence au film « Des Serpents dans l’avion »
« De retour en Angleterre - débarquement retardé à cause d’un scorpion trouvé à bord. Vous allez aimer easyjet… » tweete un autre usager visiblement moins emballé par la situation.
Aucune nouvelle du scorpion à ce jour malgré des recherches approfondies au sein de l’avion. La compagnie ne s’est pas encore exprimée sur la façon dont l’arachnide a pu s’introduire dans la cabine.
Ce n’est pas la première fois qu’un animal est introduit illégalement à bord d’un avion EasyJet, en octobre 2013 c’est un serpent qui avait été retrouvé lors d’une correspondance Tel Aviv- Londres.
Si vous souhaitez pimenter votre trajet, vous savez désormais dans quel compagnie il faut réserver votre prochain vol.
Adèle Bernard avec Loïc de la Mornais