Il n’y aura plus d’après à Saint-Marais-des-Prés
C’était il y a vingt ans. Des associations de quartier se créaient, à deux pâtés de maison du Cox et du Central, pour dénoncer le péril gay, péril perçu comme la déferlante de pédés venus du monde entier dans la vingtaine de ruelles du Marais historique. C’était le temps des...