Ce mardi 20 mars, journée internationale de la francophonie, Emmanuel Macron présente son plan pour accroître la pratique de la langue française. Comme dans le reste du monde, la langue de Molière est de moins en moins pratiquée à Bruxelles.
Le français est l’une des trois langues de travail de la Commission européenne (avec l’anglais et l’allemand) et l’une des deux langues d’usage au Conseil des ministres. Mais des chiffres édifiants montrent le recul de la langue française dans les institutions : en 1998 37% des documents des institutions européennes étaient publiés en français, en 2015 seulement 3.6%. Dans la "Bulle" européenne, un même constat pour les observateurs et les médias internationaux qui couvrent l'actualité de l'Union européenne, le français régresse.