Depuis la présentation de son premier agenda sur l’immigration, le 13 mai, la Commission européenne persiste et signe. Bruxelles révèle sa clé de répartition des demandeurs d’asile : la France devra en accueillir 6752, soit 16,88%. Une autre mesure, facultative cette fois, invite les Vingt-Huit à réinstaller 20 000 réfugiés reconnus par l’ONU, venus principalement du Moyen-Orient.