Le discours du premier ministre grec a changé depuis quelques jours: "nous voulons dialoguer, nous ne sommes pas une menace pour l'Europe" affirme Alexis Tsipras. A Bruxelles et à Paris, l'atmosphère est à l'apaisement. Mais pas question pour autant de relâcher la pression sur Athènes qui doit poursuivre les réformes et qui n'obtient pas d'annulation partielle de sa dette.