Au même moment, l’ancien ministre français décrochait son bâton de Maréchal : le poste de commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, en charge aussi de la fiscalité. Pour asseoir sa crédibilité, Pierre Moscovici, très critiqué dans la presse allemande, devra à la fois tenir la dragée haute à Paris, tout en aidant le malade français à se rétablir et donc à se réformer…