A la veille de la rencontre avec une délégation de la filière volaille et des abattoirs bretons, le commissaire à l’agriculture Dacian Cioloș, rappelle que la balle est dans le camp français : il existe une enveloppe budgétaire allouée à la France, qui autorise le soutien financier à une région ou à un secteur, pour regagner en compétitivité. Il revient également sur les délais d’adaptation accordés à la filière. Depuis 2007, selon Bruxelles, les dirigeants des entreprises étaient informés de la fin des aides à l’exportation. Ils n’ont pas été pris par surprise.