En addictologie clinique, nous avons tous remarqué qu’il pouvait exister des fragilités familiales. Des patients pour lesquels on retrouve des parents, grands-parents, oncles… en difficultés.
Des chercheurs du Sensory Evalulation Center de l'Université d'état de Pennsylvanie ont publié une étude dans la revue Alcoholism Clinical and Experimental Research, et montrent qu'apprécier ou non l’alcool pourrait être lié à des facteurs génétiques. Pour les curieux ou les connaisseurs, il s'agit des TAS2R13 et TAS2R38.
Les différences de perception de goût seraient dues à des versions différentes des gènes qui font partie des récepteurs du goût de l'amertume.
Une nouvelle piste intéressante à explorer.