Comment peut-on demander à en ex-otage son point de vue sur le paiement des rançons ? Cela me sidère, voilà un homme qui a passé trois ans en enfer, qui revient sur terre et qui remercie tout le monde, qui n'a pas un mot plus haut que l'autre et à qui le journaliste, tout sourire (ce qui est pire), pose cette question qui tue. J'ai honte ! Dans le même ordre d'idée si les journalistes de terrain pouvaient cesser de demander aux victimes d'inondation dans quel état d'esprit ils se trouvent .... Bien cordialement. @Philippe S