J’ai du mal à comprendre l’intérêt des envoyés spéciaux sur des phénomènes météorologiques de présenter leur intervention munis de cuissardes, de bottes ou de parapluies, avec les pieds dans plusieurs décimètres d’eau ou sous les embruns d’une tempête. D’autant plus qu’il est difficile de tenir un micro, des notes manuscrites et un parapluie avec deux mains.
Il faut être un peu maso pour se situer dans les conditions les plus défavorables, alors qu’il existe obligatoirement, à proximité, des abris qui permettraient de réaliser le direct dans des conditions bien plus agréables. Sur les lieux où des habitants souffrent d’avoir perdu leurs maisons ou leurs affaires, il n’est pas besoin de sensationnel complémentaire…… les reportages suffisent amplement (...) @Jean-Pierre C.