De qui parle-t-on?

Je trouve aberrant le traitement du sujet des fourrières parisiennes par le 20h de lundi. Loin de moi l'idée de cautionner un éventuel mauvais comportement routier des salariés des fourrières qui est effectivement à proscrire et à dénoncer. Mais de là à conclure le reportage en disant que que "la seule solution pour les automobilistes mal garés est d'arriver alors qu'il reste deux roues du véhicule au sol" m'irrite un peu. De qui parle t'on? D'automobilistes qui se garent mal, prennent les places handicapées, se garent sur les pistes cyclables, gênent les poussettes, ne paient pas le stationnement... Le seul conseil à leur donner serait de se garer sur des emplacements autorisés et/ou de payer leur stationnement et/ou de se déplacer autrement (en deux roues, en transports en commun...). Il faudrait tout de même veiller à ne pas associer ces automobilistes en infraction à des "victimes". (Anne B.)