Sur la chaîne galloise : Du Pays de Galles à Paris, mobilisations et contrastes
Politique, alcool, terrorisme, religion : l'émission galloise Hacio compare les réponses des Parisiens et des Gallois.
Politique, alcool, terrorisme, religion : l'émission galloise Hacio compare les réponses des Parisiens et des Gallois.
Chaque jour nous recevons beaucoup de messages sur l'adresse contact. Ce matin nous décidons de publier celui de Marion qui traite de la question de la parentalité vécue comme une pression sociale. N'hésitez pas à nous écrire, nous aimons les critiques comme les bons mots ! Bonjour, il y a des...
On ne peut pas vraiment prendre en main son destin, parce que les contraintes sociales sont trop fortes. Les jeunes ne le supportent pas, d'autant qu'on les a bassinés avec l'obligation d'être autonomes et responsables.
Pour 85% des jeunes il y a de plus en plus d'inégalités en France. Les sociologues saluent leur lucidité. Les politiques, eux, sont unanimement d'accord ! Sauf quand il faut développer. Car là, surprise : c'est quoi, une « inégalité » ?
Aller vivre ailleurs, se battre pour son pays, la place des immigrés : deux tiers de cette génération est internationaliste, un tiers tient des positions très crispées. Les sociologues phosphorent.
Les 18-34 ans ne croient plus au progrès. Cette vision sombre de l'avenir inquiète franchement les politiques. Alors, Lucide ou sinistre, la Génération Quoi ?
Le multiculturalisme ne pose pas de problème aux 18-34 ans. Sauf à un quart d'entre eux. Les sociologues s'interrogent sur la fraction des non-diplômés, dans des territoires enclavés, chez les perdants de la mondialisation.
Les inégalités sociales, territoriales ou hommes/femmes, sont particulièrement insupportables à la génération des 18-34 ans. Tant mieux, mais c'est le cas de toutes les générations de jeunes.
Volée de bois vert des 18-34 ans contre le système éducatif français. On joue le jeu de la compétition, mais on n'y croit plus parce que la méritocratie est morte !
Les précédentes générations sont responsables de la situation dans laquelle vit la génération des 18-34 ans. : oui à 51%. C'est totalement nouveau, et ça n'a rien à voir avec le « conflit des générations » des années 60.
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