Talamoni et Simeoni : la guerre des mots des nationalistes corses
A Bastia, ce mercredi 7 février, devant les élus nationalistes fraîchement élus, Emmanuel Macron a précisé sa vision de l’avenir de la Corse lors d'un discours fleuve. Si le chef de l'Etat s'est montré ferme en ne pliant pas sur les revendications nationalistes portant notamment sur la co-officialité de la langue, le statut de résident, l'amnistie...