Quelques capteurs et un GPS, voici la méthode utilisée par le professeur Rémy Slama dans sa nouvelle étude atour des effets de la pollution atmosphérique sur les femmes enceintes, leurs foetus et les enfants.
Chaque sujet volontaire est ainsi équipé devient un véritable capteur mobile. Cela permet de corréler de manière très précise les doses de polluants/durées/lieux reçues par les femmes avec les données purement médicales relevées sur les femmes et les enfants.
In fine, le chercheur espère réunir une cohorte de 800 femmes et enfants.