Par le passé, Pékin était peu enclin à sanctionner aussi durement le régime nord-coréen. "Mais le principal allié et partenaire commercial de Pyongyang a surement voté ces sanctions face à la pression. Une pression nord-coréenne d'abord, trop c'est trop, le pays frontalier devient de plus en plus incontrôlable. Mais aussi pression internationale et pression des États-Unis", explique Arnauld Miguet.