Les autorités japonaises sont toujours dans le flou quant à l'incident de la centrale de Fukushima et la manière de le résorber. D'où l'idée de venir à Tchernobyl voir quelles leçons ont été tirées de l'explosion du réacteur n°4, il y a près de 25 ans. Une zone d'exclusion vaste comme le Luxembourg existe toujours, à l'intérieur : la ville de Pripiat qui présente le visage de l'après-apocalypse... La radio-active est toujours trop forte pour y envisager de rendre la zone accessible.
Reportage Alban MIKOCZY - Sergueï ROJKOV, diffusé le 29 mars 2011 - Journal de 13 heures.
L'INFO EN PLUS DU BLOG : Curieusement l'état japonais finance depuis une quizaine d'années des études et des projets sanitaires dans la région de Tchernobyl, sur l'après-accident. 800.000 euros ont ainsi été consacrés à la dépollution des terrains contaminés... Une expérience dont les japonais pourront se servir dans les prochains mois.