Le sort de la Grèce a de nouveau été discuté ce vendredi 26 juin à Bruxelles. L'Union européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire international ont formulé une offre d'aide de 12 milliards d'euros à Athènes d'ici novembre. En échange, le pays doit engager des réformes profondes et procéder à des coupes budgétaires drastiques. Mais pour Alexis Tsipras, certaines exigences sont inacceptables. Le Premier ministre grec dénonce des "chantages" et n'accepte pas les "ultimatums".