Bruxelles accorderait un sursis supplémentaire à la France pour se mettre en conformité jusqu'au printemps prochain. D'un côté, Bruxelles renonce à une sanction immédiate ou à un jugement trop sévère sur nos comptes, ce qui aurait pu être humiliant pour la France. De l’autre, la Commission européenne demande à Paris un effort de 4 milliards d'euros supplémentaires.