Moins de 48 heures après la démission du commissaire européen chargé d'une directive très stricte sur le tabac, les ONG qui se battent contre les cigarettiers ont toutes été cambriolées et des ordinateurs aux données ultra-sensibles se sont volatilisés. Le puissant lobby du tabac serait il responsable ? Impossible de l'affirmer. D'ailleurs, même les ONG concernées ne le disent pas. Mais le doute est bien là. Et cette affaire remet encore une fois sur le devant de la scène le rôle - pas assez transparent - des groupes de pression à Bruxelles.