Après la Grande Bretagne hier, l'Italie aujourd'hui, l'Allemagne dans les jours à venir, toute l'Europe met le pied sur le frein des dépenses.
Objectif affiché : réduire les déficits
Objectif "caché" : éviter à tout prix les foudres des agences de notation pour ne pas tomber dans la spirale grecque
Bref, les gouvernements européens ont peur.
Problèmes :
1/ Ils ne rassurent pas les marchés : les bourses et l'euro s'effondrent.
2/ Ces multiples "coups de frein" (qui ne sont pas coordonnés mais qui ressemblent plutôt à des "sauve qui peut") pourraient casser le retour de la croissance. C'est ce que craignent par exemple DSK ou encore Joseph Stiglitz, prix nobel d'économie.