Le 12 juin les irlandais votent par référendum sur le traité de Lisbonne. A 10 jours du scrutin, l'inquiétude grandit à Bruxelles mais aussi à Paris.
Côté français, on nous dit par exemple surveiller la situation irlandaise "comme le lait sur le feu". Car à Dublin, l'écart se resserre entre les partisans du Oui et ceux du Non.
Le "No" agglomère des positions très différentes, le président de la Commission européenne commence à répéter qu' "il n' y a pas de plan B".
Tout cela rappelle étrangement...2005 en France.