Kenji Miura jouant le concerto n° 2 de Chopin C) Masha Mosconi

Le verdict du concours de piano Long-Thibaud-Crespin, présidé par Martha Argerich, accueilli par les huées du public.

Le chant, en mémoire de la soprano Régine Crespin, ce sera l'an prochain, comme c'était l'an dernier le violon, avec un jury présidé par Renaud Capuçon, qui a repris en main l'organisation du concours -que ne fait-il pas? Martha Argerich, son amie, présidait donc cet année un jury chargé de...

Jean-Baptiste Doucet, 4e prix, prix du public C) Masha Mosconi

Au concours de piano Long-Thibaud-Crespin présidé par Martha Argerich, le public couronne le Français Jean-Baptiste Doucet

Le concours Long-Thibaud-Crespin 2019, cette année consacré au piano, s'est donc achevé sur un sérieux divorce entre le public et le jury, l'un couronnant le Français Jean-Baptiste Doucet que l'autre a placé 4e sur 6, l'autre donnant son 1er prix au Japonais Kenji Miura, récompense accueillie par l'auditoire avec des...

Martha Argerich C) Adriano Heitman

Martha Argerich reçoit ses amis, Edgar Moreau, Gérard Caussé, Prokofiev et Mozart

Mais Martha Argerich n'était pas seule à recevoir ses amis. Stephen Kovacevich, son second mari, les recevait aussi: à l'altiste Caussé et au violoncelliste Moreau s'ajoutaient la pianiste japonaise Akane Sakai et les deux violonistes Tedi Papavrami et Raphaëlle Moreau, celle-ci soeur d'Edgar. Dans un programme où chacun avait au...

S.Ghraichy, le flamboyant profond C) Antonin Menichetti

Capuçon, Ghraichy, Goerne, Gabetta: Schumann a bien de la chance!

Quatre albums consacrés à Robert Schumann sont sortis ces temps-ci. Signés Gautier Capuçon et Sol Gabetta, violoncellistes, Simon Ghraichy, pianiste, Matthias Goerne, chanteur. Quatre albums de haut niveau, avec parfois des raretés: Schumann a bien de la chance.   En préliminaire, un rappel déontologique Une remarque préliminaire mais importante, et...

D. Harding et l'orchestre de Paris C) William Beaucardet

L'orchestre de Paris et Daniel Harding dans un Beethoven imprévu et un Brahms imprévisible

Beethoven et Brahms, rien que du très classique à l'orchestre de Paris -ce qui est loin d'être désagréable. Un concerto du premier par un bon pianiste allemand, une symphonie du second. Pourquoi ce concert-là avait-il particulièrement retenu mon attention? A cause d'une absente. Maria Joao Pires... Le départ de Maria...