(...) Non, Bachar n'a pas à avoir accès aux médias, et il n'est pas du tout intéressant, et même malsain de lui donner la parole. A partir du moment où les médias ont en mains les preuves de son abjection, leur rôle est d'expliquer ces preuves aux citoyens, et d'établir au contraire le boycott médiatique du personnage, bien sûr. Vous, journalistes, n'avez pas à parler avec un tel monstre (trop content de pouvoir insulter au passage la France qui soutient les terroristes, bien sûr), encore une fois laissez faire les vrais professionnels, notre diplomatie. Pour qui vous prenez-vous donc ? @Emmanuel C.