J’ai toujours préféré les petits histoires à la grande, avec un H majuscule. Avec le temps, j’ai appris à ne pas culpabiliser là-dessus : le plus sérieux des médiévistes rêvera toujours de tournois, le plus académique des historiens ne se remet jamais vraiment de la mort de César. Et heureusement.
Après un DEA d’Histoire et la publication d’un roman d’aventures historiques, j’ai commencé à bloguer en 2004 et à raconter régulièrement des histoires sur Twitter en 2012 : pour partager, pour transmettre et avant tout parce que j’aime raconter des histoires.
La vulgarisation, ce n’est pas un gros mot - au contraire. C’est un beau métier, raconteur. Ce n’est pas un hasard si je travaille encore et toujours avec des mots, aujourd’hui.
A chaque fois, j’aime partir d’une actualité quelconque qui me faisait penser à quelque chose, une anecdote, un récit, une source ou un détail oublié. Avec le temps, j’ai pris goût à ces rebonds. Le flux des dépêches qui tombent renvoient vers mille histoires, connues ou non. Ça nous fait bien penser à quelque chose, mais à quoi, exactement ?
C’est le but de ce blog : les raconter, avec le sourire.