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Donald Trump : le bras de fer se poursuit avec les démocrates

Le projet de mur voulu par Donald Trump à la frontière avec le Mexique continue de plonger les États-Unis dans l'impasse budgétaire. 

Les démocrates à la chambre des représentants aux États-Unis prennent le pouvoir et vont au bras de fer avec Donald Trump. À la tête de cette opposition se trouve Nancy Pelosi. C'est elle qui refuse les 5,6 milliards de dollars que le président réclame pour construire le mur avec le Mexique. La dernière réunion a eu lieu mercredi 2 janvier au soir, mais ce fut un échec. Donald Trump poursuit donc le blocage des administrations. "Le shutdown durera autant de temps qu'il le faudra", a -t-il déclaré.

800 000 fonctionnaires non payés

Un quart du gouvernement fédéral est sans argent, 800 000 fonctionnaires ne sont sans payés. Les démocrates lançaient mercredi 2 janvier un appel à Donald Trump. Mais c'est une fin de non-recevoir de la part du président américain. Dans le pays, au treizième jour du shutdown les poubelles ne sont plus ramassées, notamment dans les parcs nationaux, dont beaucoup ont décidé de fermer. L'Amérique se trouve aujourd'hui dans une impasse. Donald Trump, lui, s'adresse à sa base d'électeurs avec le mur. Il utilise également un argument de poids : la somme demandée est l'équivalent de ce que dépense le pays en une journée en Afghanistan.

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"Shutdown" aux États-Unis : les parcs nationaux sont fermés

Les premiers effets de la crise du "shutdown" commencent à se faire sentir. De nombreuses administrations ont dû fermer leurs portes.

Une simple balade aux pieds du célèbre Golden Gate à San Francisco (États-Unis) est impossible. Classé parc national, le site est fermé en raison du "shutdown", la fermeture d'un certain nombre d'administrations. Dans un parc des montagnes Rocheuses, les routes sont également fermées. Sur fond de discorde au sujet du mur à la frontière mexicaine, Donald Trump n'a pas pu faire voter le budget au Sénat. Les fonctionnaires non indispensables comme les rangers des parcs, sont renvoyés chez eux, au chômage technique et sans salaire.

La statue de la Liberté ouverte

Certains parcs, comme le mont Rushmore, restent accessibles aux risques et périls des visiteurs, car aucun service de secours n'y sera disponible. D'autres, comme les grands sites de l'Utah à l'image de Bryce Canyon restent ouverts. Le répit est le même pour la statue de la Liberté à New York. Dans ces cas-là, les gouverneurs des États ont pioché dans leur fond d'urgence pour payer le personnel. Le sapin de Noël de Washington près de la Maison-Blanche, classé monument national, est par contre, lui aussi fermé. Les sénateurs, eux, ne reviennent au congrès que jeudi 27 décembre.

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Donald Trump perd son secrétaire à la Défense

La lutte contre le terrorisme sème la zizanie aux États-Unis avec le désaccord de trop pour le chef du Pentagone. Alors que Donald Trump a annoncé le retrait des troupes américaines de Syrie, son ministre de la Défense lui a dit "au revoir".

En duplex depuis Washington (États-Unis) dans le 20 Heures de France 2, le journaliste Loïc de la Mornais revient sur la démission de Jim Mattis qui n’est pas le premier à claquer la porte. "Ce n’est pas le premier et ce ne sera sans doute pas le dernier. Il y a eu 17 départs de hautes personnalités, de responsables de premier plan de l’administration Trump depuis le début du mandat du président. C’est un record."

Une énorme erreur stratégique

Et le journaliste d’ajouter : "Mais c’est vrai que Jim Mattis est un cas à part. C’est quelqu’un d’extrêmement respecté à gauche comme à droite. Ancien général 4 étoiles, ministre de la Défense, il n’a pas supporté une fois de plus que ça soit par Tweet que Donald Trump annonce le retrait de Syrie, et pour moitié en Afghanistan. Un retrait contre lequel ce général s’est toujours battu, disant que ce serait une énorme erreur stratégique. Beaucoup d’observateurs disaient de Jim Mattis était le dernier adulte dans la pièce, voire le dernier rempart avant le chaos."

Plus d'un demi-siècle après sa mort, John Kennedy est encore présent dans les mémoires

Cette semaine nous vous emmenons sur les traces de John Fitzgerald Kennedy, devenu une icône source de glamour et d'intrigue. Il est le deuxième président le plus apprécié de l'histoire des États-Unis, derrière Abraham Lincoln.

John Fitzgerald Kennedy, également connu par ses initiales JFK, est né le 29 mai 1917 à Brookline (Massachusetts) et a été assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas (Texas). Il est le second d'une famille de neuf enfants. Entré en fonction à la Maison-Blanche le 20 janvier 1961 à l'âge de 43 ans, il est le 35e président des États-Unis mais aussi le plus jeune président élu dans l'histoire du pays. Après seulement trois ans à la tête du pouvoir, JFK a été tué par balles, en service, sous les yeux de sa femme.

Marié à Jacqueline Bouvier le 12 septembre 1953, JFK deviendra le père d'une fille Caroline en 1957 et d'un garçon John en 1960. Deux autres enfants, Arabella mort-née (1956) ainsi que Patrick naît prématurément et mort deux jours plus tard (1963) reposent au cimetière National d'Arlington, dans la balnlieue de Washington D.C, auprès du couple.

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John Fitzgerald Kennedy a marqué l'histoire du pays par sa gestion de la crise des missiles de Cuba, son autorisation du débarquement de la baie des Cochons, son engagement dans le cadre de la course à l'espace, son opposition à la construction du mur de Berlin et enfin sa politique d'égalité entre les personnes blanches et celles de couleurs. Il aurait eu 100 ans en mai 2017.

Reportage de Jacques Cardoze, Régis Massini, Louise Dewast et Arielle Monange

À la recherche des perles bleues, trésor colonial de Saint-Eustache

Cette semaine, nous vous emmenons au coeur des Caraïbes, sur l'île volcanique de Saint-Eustache, petit territoire néerlandais. Très peu connue des touristes, l'île cache en ses eaux claires de petites perles bleues, symbole de la liberté retrouvée après l'abolition de l'esclavage. 

Saint-Eustache est une île des Caraïbes, territoire néerlandais d'outre-mer, qui fait partie des petites Antilles. Elle est située au sud de Saint-Martin et au nord-ouest de la Guadeloupe. Ce petit bout de terre, aperçu par Christophe Colomb en 1493, a changé 22 fois de puissance coloniale au cours des 150 années qui ont suivi.

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Depuis 1784, Saint-Eustache appartient aux Pays-Bas. Le néerlandais et l'anglais y sont reconnus comme langues officielles. Selon un recensement effectué en 2010, 2 886 habitants peuplaient l'îlot volcanique contre 3 300 en 2007. La majorité de la population est composée de descendants d'esclaves noirs africains.

Contrairement aux Antilles françaises, le tourisme est très peu développé à Saint-Eustache. Le lieu est surtout connu des plongeurs en quête des légendaires perles bleues, dispersées dans les profondeurs des eaux turquoises.

Au XVIIIe siècle, et ce durant 200 ans, ces petites billes bleues à cinq facettes ont servi de monnaie d'échange entre les esclaves. Plus un esclave était important, plus il en possédait. Après l'abolition de l'esclavage, prononcée au XIXe siècle, les domestiques - achetés pour la majorité en Afrique - ont jeté ces pierres à la mer en guise de symbole de leur libération.

Aujourd'hui, les perles se font rares car le gouvernement néerlandais autorise ceux qui en trouvent à les garder. Mais l'espoir de mettre un jour la main dessus séduit encore les amateurs de plongée.

Reportage de Jacques Cardoze, Régis Massini et Andréane Williams

Le Far West se vide de ses derniers cowboys

Cette semaine nous vous emmenons dans l'Ouest, sur la trace des derniers cowboys, icônes de l'Amérique. En 50 ans, leur nombre a été divisé par quatre.

On les reconnaît à leur silhouette, chapeau vissé sur la tête et veste en cuir sur le dos. Les cowboys sont les icônes de l'Amérique. Ces hommes de l'Ouest, souvent solitaires, ont fait le bonheur des westerns. Mais aujourd'hui, leur destin n'est plus assuré.

Sur le dos de leur monture, les cowboys travaillent plusieurs heures par jour pour rassembler leurs troupeaux sur les hauts plateaux du Colorado. Mais aujourd'hui, ces cavaliers de l'Amérique sont menacés par l'élevage intensif des ranchs industriels. Leur présence représente une concurrence inégale impactant fortement le prix de la viande sur le marché.  

Les cowboys traditionnels, autrefois perçus comme des "bad boys" virils, ne font pas le poids. Sans compter que les générations futures ne souhaitent pas reprendre l'héritage des ranchs d'élevage. Les cowboys sont alors contraints de vendre leurs propriétés à de riches acquéreurs qui n'ont que faire du patrimoine passé. Ces derniers transforment les grands espaces en complexes luxueux où le bétail a quasiment disparu.

Reportage de Valérie Astruc, Thomas Porlon, Andréane Williams et Arielle Monange 

Donald Trump pousse la chansonnette dans une parodie du tube "Despacito"

Depuis sa mise en ligne, le tube planétaire "Despacito" aux paroles très sensuelles, inspire les internautes les plus créatifs aux quatre coins du monde. Il y a une semaine, un youtubeur marocain a posté une parodie de Donald Trump, interprétant la chanson. Un pastiche visionné plus de 600 000 fois.

Le remix est hilarant. Durant 1'13 minute, le youtubeur marocain, Zakaria Chaouch, alias Maestro Ziikos a rassemblé plusieurs déclarations publiques du président américain, lors de ses déplacements aux États-Unis et en Europe, comme lors de son élocution à Varsovie, première étape de sa tournée européenne à l'occasion du G20. 

Une fois les images assemblées, l'artiste marocain de 26 ans a ajusté les expressions du visage de Donald Trump sur la bande musicale, donnant l'illusion qu'il interprète lui-même le morceau. Une composition pour le moins très réussie !

Publiée le 15 juillet, la parodie a été vue plus de 600 000 fois sur la plateforme d'écoutes YouTube. "J'ai reçu beaucoup de suggestions de Donald Trump chantant 'Despacito', a déclaré Zakaria Chaouch dans un commentaire sur ses pages Youtube et Facebook. Au début, je me suis dit 'Non, c'est impossible', mais quelques semaines plus tard, j'ai pensé 'Tente'. Voici le résultat, j'espère que vous allez l'aimer".

Sur sa chaîne de vidéos, le youtubeur n'en est pas à son premier coup d'essai. En février dernier, il avait atteint les 8 millions de vues grâce à sa reprise de "Shape of You" d'Ed Sheeran, par l'ancien président Barack Obama.

La planète danse au rythme des sonorités latines

Qu'on l'aime ou non, la chanson est sur toutes les lèvres. Interprété par le Portoricain Luis Fonsi, en featuring avec le rappeur Daddy Yankee, "Despacito" (Doucement en français) est devenu le titre de l'été le plus écouté en streaming depuis mercredi 19 juillet, a annoncé le label Universal Music Latin Entertainment. Classé numéro un dans 45 pays, le morceau connaît un succès international historique.

Avec 4,6 milliards d'écoutes sur les plateformes d'écoutes en ligne - à savoir Spotify, Weezer, Apple Music, Amazon Unlimited ou encore YouTube - le hit a ainsi pris la première marche du podium, détrônant "Sorry" de Justin Bieber. Le chanteur canadien n'a pourtant aucune honte à avoir puisque son titre cumule 4,38 milliards d'écoutes.

Yelen BONHOMME-ALLARD

 

Du gazon à la prison, O.J Simpson court vers la libération

L'ancienne star des terrains de football américain, va être relâchée par anticipation, en octobre prochain, a annoncé aujourd'hui la justice américaine. O.J Simpson a passé 9 ans derrière les barreaux, suite à son arrestation pour vol à main armée, commis en 2007.

O.J Simpson, le meilleur athlète de sa génération 

Dec 16, 1973; Flushing, NY, USA; FILE PHOTO; Buffalo Bills running back O.J. Simpson (32) carries the ball against New York Jets defenders Delles Howell (20) and Ralph Baker (51) at Shea Stadium. During this game Simpson broke the single season NFL rushing record with 2003 yards. Mandatory Credit: Tony Tomsic-USA TODAY NETWORK

© Photo : Tony Tomsic-USA TODAY NETWORK

Orenthal James Simpson, plus connu sous le nom de O.J Simpson, est un ancien joueur professionnel de football américain, des années 70. À la fin de son parcours universitaire, le running back est sectionné en première position de la draft 1969 de la Ligue Nationale de Football (NFL) par les Bills de Buffalo. Il signe alors le contrat le plus lucratif pour un joueur de football américain de l'époque.

Au début des années 80, O.J Simpson prend alors sa retraite. Il se réoriente vers le cinéma à Hollywood et s'illustre également en tant que commentateur sportif.

De la pelouse à la prison 

En 2008, l'ex-star est arrêtée pour vol à main armée, agression et enlèvement. En septembre 2007, Simpson s’était rendu avec des complices dans un hôtel-casino de Las Vegas pour voler des souvenirs de sa carrière de joueur. Selon lui, il tentait seulement de récupérer ces objets qui lui avaient été volés par les deux vendeurs agressés. L'athlète a alors été condamné à 33 ans de prison. Mais aujourd'hui, après 9 ans passés derrière les barreaux, la justice a décidé de libérer O.J Simpson plus tôt que prévu. Il pourra rentrer chez lui, en octobre prochain.

"J'ai fait mon temps, a déclaré devant la cour, l'ancien joueur qui souhaite rattraper le temps perdu auprès de ses quatre enfants. Je ne me suis jamais plaint pendant neuf ans. J'ai essayé de me rendre utile (en prison), en épaulant les autres prisonniers."

Un nom entaché par les affaires judiciaires

Le nom de l'ex-star a également été mêlé à une affaire beaucoup plus sanglante. Le 13 juin 1994, les corps de son ex- femme, Nicole Brown - divorcée du sportif depuis deux ans pour violences conjugales - et celui de l'ami de celle-ci, Ronald Goldman, sont découverts sans vie. La première a été étranglée tandis que son ami a été lacéré de trente coups de couteau. En se rendant au domicile d'O.J Simpson, situé dans les beaux quartiers de Los Angeles, les enquêteurs découvrent un gant en cuir tâché de sang dans le jardin du sportif, lui-même absent.

Quelques jours plus tard, le 17 juin, alors que la somptueuse résidence est en état de siège par les journalistes et la police, O.J Simpson décide de ne pas se rendre au commissariat et prend la fuite à bord de la voiture d'un ami. Les forces de sécurité sont à ses trousses, faisant de l'ex-star un fugitif. Celui-ci se laisse finalement interpeller, filmé en direct par les hélicoptères des télévisons.

Finalement, au terme d'un procès de onze mois, O.J Simpson est acquitté du double meurtre, provocant de vives réactions. Beaucoup affirment que sa notoriété et sa richesse lui ont permis d'éviter la case prison.

Yelen BONHOMME-ALLARD

Moment de solitude pour Trump : la première dame de Pologne esquive sa poignée de main

Donald Trump est de nouveau raillé sur les réseaux sociaux. Alors que de nombreuses vidéos ont fait le tour de la toile, montrant des poignées de main vigoureuses entre le président américain et d'autres dirigeants, cette fois c'est l'absence volontaire de cet échange formel qui a fait rire les internautes. 

Donald Trump et les poignées de main. Cela pourrait être le titre d'un livre, tant les récurrences sont nombreuses. À l'occasion du G20, Donald Trump a rencontré son homologue polonais, Andrzej Duda, tous deux en présence de leur femme respective. Au moment de saluer le président américain, Agata Kornhauser-Duda, la Première dame polonaise, esquive la main, déjà tendue, de Donald Trump et serre celle de Melania à la place. Un geste visiblement mal interprété par le locataire de la Maison-Blanche à en juger son visage surpris, puis irrité.

Après quelques secondes, l'épouse du dirigeant polonais se tourne finalement vers lui afin de le saluer. Vexé, il fait un signe en direction de la foule avant de quitter le podium, pendant que les deux femmes échangent quelques mots. Trop tard, le mal est fait. Au point qu'Andrzej Duba se sent obligé de se justifier sur Twitter afin d'éviter l'incident diplomatique.

Une façon d'asseoir son autorité 

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Cette poignée de main n'est pas sans rappeler l'échange vigoureux entre Donald Trump et Emmanuel Macron. Lors de leur première rencontre, le 25 mai dernier à Bruxelles, les deux dirigeants s'étaient livrés à un rapport de force, en toute virilité. A l'issue de plusieurs secondes, les yeux dans les yeux, le président français était alors sorti "vainqueur" de cet affrontement, selon la presse américaine.

Des sourires pour la forme 

L'occupant de la Maison-Blanche est réputé pour broyer la main de tous ceux qu'il rencontre. Si Emmanuel Macron lui a tenu tête, tout le monde ne peut pas en dire autant. Le 10 février dernier, devant les objectifs des photographes, le premier ministre japonais Shinzō Abe, a eu la main écrasée pendant 19 longues secondes par le président américain. La fin de l'échange physique a sonné comme un soulagement pour l'agent diplomatique japonais. 

Yelen BONHOMME-ALLARD

À la découverte de Georgetown, quartier historique de Washington D.C

Georgetown est une ancienne ville portuaire construire durant la première moitié du XVIIIe siècle. Elle a été fondée en 1751 par George Beall et George Gordon sous le nom de Town of George. George étant aussi le prénom du roi d'Angleterre de l'époque, George II, un doute persiste quant à l'origine du nom de la ville. Située à la limite du Potomac, la ville a rapidement prospéré grâce à son port, favorable au commerce du tabac. Aujourd'hui, Georgetown est l'un des quartiers les plus branchés de la capitale.

  • M Street

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Connu pour ses nombreux magasins, Georgetown est un quartier incontournable pour les accros du shopping. Tout au long de l'avenue, les enseignes nationales - voire internationales - côtoient les petites boutiques de créateurs. Vêtements et chaussures paradent dans les vitrines au gré des saisons et des collections.

  • Georgetown Cupcake 

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Saveurs chocolat, caramel, carotte ou noix-de-coco, il y en a pour tous les goûts. Chaque cupcake revêt un chapeau de crème colorée, avec de nombreux éléments de décoration (paillettes, fleurs, coeurs ou guimauve arc-en-ciel). Difficile de ne pas y succomber mais... armez-vous de patience ! Du matin au soir, la pâtisserie ne désemplit pas et la file d'attente est souvent longue, très longue.

  • "The Exorcist" Steps 

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Situés au 3600 Prospect St NW, à Washington D.C, ces escaliers sont devenus célèbres depuis la sortie du film d'horreur l'Exorciste en 1973. Dans le long métrage, le Père Damien Karras, possédé par le démon, a dévalé les 75 marches avant de trouver la mort en contrebas.

Aujourd'hui, l'emplacement est devenu le terrain de jeu des sportifs qui ne semblent pas effrayés par la réputation du lieu.

  • Potomac Waterfront 

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A pied, à vélo ou en bateau, le Potomac peut se découvrir de plusieurs façons. Le fleuve sert de frontière naturelle séparant les Etats du Maryland, de Virginie et le District de Columbia. Les bateaux assurent des allers-retours de 90 minutes entre Georgetown et Alexandria, la vieille ville située en périphérie de la Capitale. La station nautique du Potomac propose également des visites du fleuve en paddle et en canoë-kayak.

  • Georgetown University

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Fondée en 1789, l'université catholique jésuite est le joyau de Georgetown. L'établissement, dont la réputation s'étend au-delà des frontières du pays, propose un enseignement d'excellence basé sur l'apprentissage des sciences, des mathématiques, la philosophie, l'histoire ou encore des sciences humaines. Les frais de scolarité sont, certes, très élevés mais assurent un avenir prometteur aux étudiants. Comme toute université américaine qui se respecte, Georgetown promeut ses disciplines sportives (basketball, baseball, football) et artistiques (danse, théâtre, musique).

  • Les maisons colorées de Georgetown 

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Les maisons de Georgetown sont très célèbres pour leurs façades colorées. Bleu, rose, jaune ou vert, le mariage des nuances, le plus souvent dans les tons pastels, harmonise les ruelles et charme le regard. Beaucoup de touristes aiment s'y promener, photographiant par endroits le profil des habitations.

Pour les curieux, l'ancienne maison de Jacqueline Kennedy est visible au 3017 N Street.

Yelen BONHOMME-ALLARD avec Aliénor VINÇOTTE